Catégorie:Talendans

De Marches du Nord
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Depuis qu'il a été officiellement étendu à une circonscription impériale, le fief des aventuriers cinglés s'est même vu doté d'un emblème : « faucon descendant tourné vers la dextre à la tour d'argent et à l'étoile d'or, sur champ parti de sable et d'azur »...
Les "Talendans" sont essentiellement les habitants de Tal Endhil, le "village-miracle", et par extension du bailliage impérial qui a ensuite été fondé autour de ce bourg qui grandit peu à peu jusqu'à devenir une véritable ville.

Dérivé de la Langue des Vents, le mot a pourtant évolué vers une orthographe "remane" et s'accorde désormais (féminin "talendane", pluriel "talendans" et majuscule en tant que nom propre). Par extension, il désigne fréquemment les notables et les soldats du village, au point d'être presque synonyme de "protagonistes" dans notre campagne.

Mais "l'identité talendane" ne se résume pas à un lieu de résidence :
être Talendan, c'est aussi adhérer à un projet de société généralement confus mais manifestement enthousiasmant, à l'esprit d'entreprise des colons (qui commence à déteindre sur les Emishen) comme à une forme d'indépendance farouche (qui pourrait bien avoir déteint des indigènes sur les colons), une culture plurielle, une combativité certaine et le goût de l'aventure...


Qui sont les Talendans ?

Issus d'au moins cinq peuples [1], unis sous la bannière du glorieux Bailli Durgaut, les colons de la vallée des Lacs en Paliers forment une communauté assez étrange au regard des coutumes impériales comme des traditions emishen. Ne serait-ce qu'en vertu du fait qu'elle mêle les deux cultures (et quelques autres) d'une manière jamais vue auparavant, mais aussi parce qu'une part non-négligeable de leur identité naissante semble se cristalliser autour d'une caractéristique un peu nébuleuse mais largement partagée, que les étrangers résument souvent d'un ton mi-admiratif, mi-inquiet : « Ces gens-là sont capables de tout ! »


Voici par exemple comment un récent immigré kerdan, Dario Celsine (qui arrivait de la grande ville), a découvert le village et ses étranges habitants en descendant du bateau il y a seulement quelques mois :
« C'est très petit (surtout par contraste avec le paysage, carrément immense), surpeuplé (quelques 1.000 habitants débordent du moindre cabanon, l'auberge locale est pleine à craquer...) et donc très sale, plutôt miteux sur presque tous les points (le pire étant probablement ce qui passe pour de "l'architecture" dans le coin : des chaumières bancales et des huttes sur pilotis pourris) mais ultra-militarisé :
entre les "mercenaires de Durgaut", les conscrits qui campent hors les murs, les Hotars, les guerriers emishen de passage, les Kerdans et les templiers, il doit y avoir presque 1 soldat pour 6 ou 7 civils... Si on ajoute à cela que la plupart de ces derniers portent effectivement une arme (poignard, gourdin, arc, hache...) on dirait que toute la population est prête pour la guerre.


L'ambiance est par contre assez surprenante :
plutôt bon enfant, infiniment plus "détendue" qu'à Aroche (malgré l'armement omniprésent), résolument optimiste (tout le monde parle du "bailliage" et d'avenir radieux), certainement plus ouverte aussi... Par exemple, Dario a croisé des bateliers kerdans plaisantant gaiement avec une Emishen et quelques Remans au temple local : apparemment le prêtre débonnaire les avaient invité à s'abriter de la pluie ! Il y a un "apothicaire" fehnri (le cousin d'Adira, évidemment) qui se balade armé jusqu'aux dents sans que ça n'inquiète personne (en même temps, on dirait que ce sont des ruffians couturés de cicatrices qui font la police).
Il y a carrément en ville un quartier (lacustre) presque exclusivement emishen (des pêcheurs, quelques trappeurs et guerriers) : Dario n'en est pas certain, mais il pense même y avoir croisé des couples mixtes (reman-emishen ou emishen-kerdan). Tout les visiteurs ne font pas preuve de la même tolérance à ce sujet, mais les autochtones talendans n'ont pas l'air bien choqués... D'ailleurs un paquet de gamins (indigènes et/ou remans : ça devient difficile de les distinguer) gambadent en ville en mettant pas mal de boxon et en chouravant gaiement.

Et tout le monde de baragouiner une espèce de sabir très curieux, qui mêle à la Langue des Pères beaucoup d'emprunts "des Vents" et même des notions typiquement kerdanes : la première fois qu'on entend, dans une taverne miteuse, des pécores crottés débattre avec des bûcherons en armes des fluctuations du "fatturato" (le "chiffre d'affaire brut", en comptabilité kerdane), ça fait tout bizarre.


Mais surtout Tal Endhil grouille d'activité !
On remarque d'abord l'intense circulation (on se croirait presque dans une grande ville) : des soldats et des cavaliers qui traversent le village (il y a des chevaux partout), des charretiers remans et des barges kerdanes qui vont et viennent à travers tout le secteur, beaucoup de petits commerces (la cargaison du Coppavento commence à se déverser en ville, notamment, et des gens de toute la région viennent en profiter : un petit marché est en train de se monter sur la place), des artisans apparemment tous débordés à cause de la visite du Primat (!) pour la huitaine prochaine...
On parle aussi beaucoup de la fameuse "Guilde Franche de Tal Endhil", mais il a fallu un moment au questor pour réaliser que son siège était une table (mal) sculptée au fond de l'Auberge du Cygne (qui commence à pratiquer des tarifs carrément "arochais", alors que les prix locaux sont en général beaucoup plus bas : pas étonnant que les Talendan ait pu remplir une nef de métaux, de laine et de fourrures).


Il y a aussi des "détails technologiques" qui clochent :
Dario a vu un escadron d'arbalétriers (débutants) s'entraîner à l'extérieur du village, des mercenaires remans portant de grandes ceintures et des arcs indigènes, un drôle de moulin tout neuf qui tourne à l'horizontale (ça fait jaser les culs-terreux), un réseau d'irrigation (dans un pays où il pleut tout le temps ?) et, au-delà du rempart nord, une espèce d'énorme chantier où des ouvriers ondrènes et emishen (?!) travaillent d'arrache-pied avec une demi-douzaine de géants (!!!), sous la direction d'ingénieurs remans pour construire à toute vitesse de nouvelles maisons (il y en a une nouvelle presque tous les jours !). Selon la rumeur, une abbaye (ou un hospice, voire une commanderie templière : ça dépend à qui on demande) devrait également surgir de terre bientôt. 0_o
On construit un gibet sur la place, aussi : il paraît que ça fait partie des "festivités" (sic).

Sans compter que ce village pouilleux semble accueillir presque autant de lettrés que le quartier du Convent (à Aroche) : un architecte-ingénieur carrément doué, plusieurs cartographes, des médecins et herboristes, un prospecteur géologue, un chroniqueur à moitié emishen (non mais sans déconner ?!), un clerc-archéologue récemment arrivé de la Bibliothèque Impériale (et métis kerdan, juste histoire d'enfoncer le clou)...
Franchement, Dario commence à se dire que s'il raconte ça un jour à Aroche, on va jamais le croire...

Au bord du quartier lacustre, amarrées à des plateformes tremblotantes, Dario a vite repéré de grandes barges kerdanes où logent apparemment une douzaine de Sotorine très occupés : il a cru comprendre que la majorité de leurs cousins faisaient des relevés hydrographiques pour un futur port fluvial (?!) à une demi-journée en aval.
Le Celsine y a néanmoins rencontré la "Pilote" Ranyella (à peine polie), le sympathique érudit Ordano Sotorine qui s'est beaucoup amusé de l'air atterré du jeune citadin ("Vous verrez, jeune homme : d'abord on s'habitue, puis on y prend goût...") et un lewyllen très bizarre, Shiean Milgrim, qui semble représenter ici une sorte d'organisation inter-tribale nommée "Sentinelles de l'Orage" (aucune idée de ce que ça peut être) pour laquelle il négocie du ravitaillement avec les Sotorine. Dès qu'il eut identifié Dario comme kerdan, Milgrim lui a demandé tout de go s'il ne vendrait pas des armes, du charbon ou du sel, "par hasard".

Enfin, il y a la Taverne Penchée, qui semble cristalliser tout le délire ambiant... »


Le Village des Aventuriers

Ce que le reste du monde a souvent du mal à comprendre, c'est que les Talendans n'ont pas le même rapport que les Remans ou que les Emishen à la "normalité", la tranquillité ou la bienséance, encore moins les mêmes définitions du "champ du possible" et du "sens de la vie". S'ils semblent "capables de tout", c'est parce qu'ils forment une communauté d'aventuriers, aussi unie par ce rapport au monde qu'ils sont disparates par leurs buts personnels ou leurs origines...

"Quoique" : à bien y regarder, nombre de Talendans partagent en fait une curieuse "racine commune" en ce qu'ils sont au départ des exceptions, des moutons noirs, des marginaux, des vagabonds ou carrément des renégats de leurs divers milieux d'origine, et qui n'ont trouvé d'autres endroits pour s'établir que l'étrange "village-miracle". Ce qui est finalement vrai pour la plupart des colonies de peuplement, donc pour les Marches du Nord en général, mais particulièrement criant à Tal Endhil.

Nombre des personnages remarquables du coin y ont ainsi échoué plus qu'ils n'y sont venus de leur plein gré : c'est notamment le cas de Durgaut (déjà en rupture avec sa famille de marchands puis expédié au diable-vauvert par un général vindicatif), de l'Inflexible Capitaine Dharomjarn ("Lame d'Airain" longtemps à la dérive hors de la stricte culture hornoise), de Dario Celsine (fils d'une dynastie déchue et lui-même viré de l'Arche melangoline d'Aroche), du sergent-chevalier Herle de Lorune (noble en rupture de ban et templier défroqué), de Hadrien "Muraille" et sa famille (quasiment bannis du reste des Marches), de Gavin "la Fouille" (arrivé là par hasard en suivant son cher chevalier), de "l'apothicaire définitif" Vighnu Pratesh, du sergent Nadine "la Moucheuse", de la dompteuse edell'okhil Neri'Helin ou du défunt Brannock (tous les quatre arrivés "au bout du monde" après une longue cavale).
On pourrait même ajouter à ce nombre tous ceux qui s'y sont établis parce que c'était leur meilleure et seule option, comme Adira Pratesh (nulle part ailleurs on avait vu un Fehnri devenir maître de Guilde et encore moins Sénéchal Impérial), Mérane "Roulier" (installée au seul endroit où une femme ait pu hériter du commerce paternel), les navigateurs Sotorine (aux comptoirs relégués loin au nord de la Mer d'Écume par l'avancée des Melangoline) -dont particulièrement la métisse Islinna ou le remuant Bartolome, Lel'Liamil le Maquignon (caravanier nomade en mal de sédentarisation devenu actionnaire d'une guilde impériale !), Maître Plirune (qui a profité de la colonisation pour devenir propriétaire terrien), le sergent Foriam "l'Estrani" (sous-officier libre penseur ?!), Soashna (où d'autre une Fehnri pouvait-elle posséder un lopin de terre ?), l'archéologue Esébilio le Brasain et le chroniqueur Andréas "Odran" (leurs sujets d'étude respectifs sont au Nord) et quelques dizaines de colons moins connus, tous venus en quête de liberté, d'une terre d'accueil ou simplement d'une véritable chance d'ascension sociale que l'Empire leur refuse ailleurs...


Cette opportunité [2] est sans doute une autre caractéristique "talendane". Quand ces gens-là veulent quelque chose, ils ne se contentent pas de l'espérer ou de le demander poliment : ils l'inventent, ils l'arrachent à la nature hostile ou ils l'escroquent à leurs voisins, sans souci du qu'en-dira-t-on, sans tellement de tabous (ni souvent de scrupules), et presque sans peur. Ou pour mieux dire, bien souvent, avec une effroyable témérité.
Depuis le siège du village, les Talendans ont ainsi enchaîné –avec de remarquables succès- les entreprises les plus périlleuses, qu'il s'agisse de commerce, de diplomatie, d'études ésotériques, d'exploration ou même d'opérations militaires audacieuses. Ce faisant, ils se sont d'ailleurs fait moult ennemis mortels à travers tout l'Échiquier du Nord, de l'influente faction des "Seigneurs du Nord" jusqu'au terrible sorcier rebelle Lorkan Elakhendil en passant par le chef belliciste Alon Sorhan, les criminels de la Confrérie du Chacal ou le prévôt de la Marche voisine, Rhilder le Boiteux.
Pourtant, refusant obstinément de céder devant l'autorité, les menaces, les coutumes ou la simple probabilité, les Talendans existent envers et contre tout, par un effort de volonté d'autant plus exceptionnel qu'il semble presque permanent.

À croire qu'ils ont fait leur la devise d'un célèbre capitaine-explorateur [3] : "Ne jamais abandonner, ne jamais se rendre !".


Un peu d'Histoire talendane

→ tirée de la page "Échiquier du Nord"

Le nord de la Région des Lacs suscite depuis longtemps quelques convoitises, ne serait-ce que par sa richesse en minerais. Mais, d'abord, c'est vraiment loin de tout : à 8 ou 10 jours de marche de Darverane, que nombre de Remans considèrent déjà comme "les confins de l'Empire", l'endroit n'est guère peuplé, il n'était guère rentable et n'a donc intéressé que quelques aventuriers pendant très longtemps.
Ainsi, le premier "découvreur" de la région était-il le navigateur kerdan Arenzio Sotorine, qui explora la région jusqu'au Grand Nord il y a 70 ans : grâce à lui, sa famille a ensuite établi le petit comptoir maritime d'Écume 6 pour commercer avec les Elloran et produire le fameux Bleu des Lacs. C'est en fait le négoce des Kerdans qui finit par donner un peu d'ampleur au petit village lacustre de Tal Endhil, que n'occupaient jusqu'alors que quelques pêcheurs indigènes, et encore seulement à la belle saison.
Tous les deux ou trois ans, l'un ou l'autre audacieux marchand ondrène partait de la petite cité minière de "Soley-Rahn" et s'aventurait à travers la passe de Nilfenan pour lui aussi commercer avec les Kerdans, les Elloran et les Liam'Lon de passage, mais c'était bien tout.


Presque trente ans après Arenzio, donc quelques années avant l'Ére Impériale, un aventurier nommé Hervald d'Anguedale décida à son tour d'explorer le secteur et, surtout, d'en prospecter les richesses souterraines : avec son équipe, il découvrit bientôt un gisement de fer dans la passe elle-même, et y fonda la Mine du Camail. Puis il repartit plus au nord, tenta de franchir la Cordillère des Soupirs, établit hâtivement quelques cartes grossières (l'abbé Dolomire en a remit une à Durgaut) et en revint à toutes jambes avant d'être mis en pièces par toutes les bêtes sauvages qui rôdent dans ce coin là (et finit ensuite sa vie on ne sait trop où).


Mais les aventures d'Hervald et sa première découverte minière attirèrent bientôt d'autres prospecteurs et mêmes deux nobles aventuriers : en l'an 6 (È.I.), les chevaliers Herritrad d'Elorsame, un lorunois, et Enguerrand de Marale se mirent en tête de conquérir le Grand Nord pour la plus grande gloire de l'Empire (et leur fortune personnelle).
Ils firent bâtir le pont de bois au sud de Tal Endhil pour livrer passage à leur armée, s'engagèrent sur le territoire des Liam'Lon... et furent bientôt massacrés dans les marais de Gehil'Arkon par les cavaliers de l'héroïne Caenniel Ghaeld.
Peinant encore à se relever de la Guerre de Horne, l'Empire de Rem décida pour une fois de signer la paix (en échange des dépouilles des apprentis-conquérants, d'après la légende) et promis de ne plus jamais franchir le Fleuve des Lacs en Paliers...

Pour autant, après les Ondrènes, l'Empire lui-même avait découvert l'existence de Tal Endhil et maintenant la frontière fixée, peu à peu, des colons vinrent y tenter leur chance, bâtir des fermes, défricher des champs... Un certain Tardil s'installa bientôt en aval pour élever des chevaux nordiques, puis Plirune arriva alors d'Archerune avec sa famille et ses ouvriers : ils achetèrent plein de terres arables, firent bâtir un moulin et donnèrent un nouvel élan économique au village. Peu après, le commerce des chevaux avait attiré un jeune maréchal-ferrant, Talbard...
Mais ce ne fut vraiment qu'en l'an 20, lorsque qu'on découvrit des gisements d'argent dans les Monts d'Azur et que fut percée la première mine argentifère que les autorités de Solerane décidèrent d'installer un donjon et une petite garnison pour protéger cette nouvelle colonie.
(Peu après, les mêmes Solerans eurent la mauvaise idée d'amener des esclaves pour travailler dans cette mine, déclenchant l'année suivante le Massacre des Cascades...)


C'était si calme, pourtant...

Jusqu'au printemps dernier, la garnison (et de fait la colonie) était dirigée par le lieutenant-mercenaire Armeld (celui qui est bizarrement mort sous un arbre peu avant le printemps), lui-même en poste depuis 5 années consécutives (c'est apparemment un record), à sa propre demande.
De ce que Durgaut a compris depuis son arrivée, Armeld était un fervent partisan du "laisser-faire" : il n'emmerdait guère les Elloran (qui ne lui causaient pas non plus d'ennuis puisqu'il n'avait pas recours à l'esclavage pour exploiter les mines), il évitait soigneusement d'envoyer des patrouilles trop loin du village et n'avait donc pas trop d'ennuis avec les Kormes, il taxait raisonnablement les marchands (impériaux ou kerdans) et, si la rumeur prétend qu'il tranchait les différents entre colons et attribuait les terres cultivables selon les pots de vin qu'on lui offrait, le peu de remous sur ces sujets témoigne là-encore d'un certain souci de ménager la chèvre et le chou.

Tout cela laissait à Rhilder le Fou, prévôt de la Marche des Lacs (depuis l'an 26) et donc son supérieur, tout le loisir de s'enrichir sans avoir tellement à se préoccuper de son plus lointain avant-poste... En tous cas, jusqu'à ce que la vallée des Lacs en Paliers se révèle être une base-arrière pour les Kormes de Lashdan : les rebelles s'y rassemblaient apparemment depuis des mois autour du Lac Deuxième, en toute impunité, et préparaient avec leurs alliés Arkonnelkan une grande offensive devant leur donner le contrôle de toute la vallée des Lacs en Paliers, fondant enfin une base-arrière solide pour leur rébellion.

Mais c'était compter sans l'arrivée inopportune, avec la caravane de printemps de l'an 37, d'un certain capitaine Durgaut, accompagné d'une poignée de mercenaires et marchands héroïques, qui allaient parvenir -contre toute attente- à sauver le village de Tal Endhil lors d'une sanglante bataille, puis à se rendre eux-mêmes maîtres de la région...

  1. Remans, Ondrènes, Emishen, Kerdans, quelques Hornois et même une poignée de Fehnri : c'est incroyablement cosmopolite pour un bled paumé de 2500 habitants (aux mois des Chasses de l'an 37).
  2. qui, avant d'être dévoyée par un anglicisme, désigne la capacité d'être "opportun", de saisir les occasions
  3. je veux évidemment parler d'Arenzio Sotorine, et pas de Peter Quincy...

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