Jehol de Mélanque

De Marches du Nord
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Jehol de Mélanque, défunt Maître du Chapitre d'Histoire du collège ducal de Farlane et de l'Université de Paremine

Fils et successeur du célèbre historien Aloren de Mélanque, Jehol était le prestigieux Maître du Chapitre d'Histoire du collège ducal de Farlane et de l'Université de Paremine.

Le vieux Jehol a fort bien manœuvré sa carrière pour réussir à acquérir un prestige certain tout en travaillant sur des sujets très "sensibles", comme l'étude historique de la polémologie, dont l'un des documents fondamentaux est évidemment Stratégies & Stratagèmes du fameux Æryl de Sarde. Il disposait aussi de certains textes traduits par le fameux Tudwal de Gelaine concernant les royaumes solaires et leur influence autour du Golfe de Meren.

Des disciples indisciplinés

  • Rovisto Celsine : Le vieil érudit trouvait que Rovisto était un bon archéologue, mais sa manie de revendre ses trouvailles au lieu de les ramener au musée de Paremine et de se rebeller contre le jeu politique qui va avec la profession l’exaspèrait un peu. Il pensait au début que c’était une phase qui passerait avec l'âge mais a fini par simplement prendre l’habitude de lui faire des remontrances en espérant (mollement) finir par le convaincre. Leur plus grosse engueulade fût suite à ce qu'un étudiant ayant acheté un "diagrammes de la Porte des Solaires" à Rovisto, manque de se noyer en voulant continuer les fouilles à Cassarenne. Jehol a menacé l'archéologue-escroc de le faire renvoyer du collège s'il continuait.
  • Séléne Negrine : Jehol fondait l'espoir qu'elle lui succède un jour à la tête du Chapitre. Cette dernière a une facilité vexante pour les langues anciennes et un esprit très acéré, mais a été renvoyée du Collège peu avant de boucler une thèse d'archéologie. Thèse qui s'annonçait révolutionnaire, mais elle s'est faîte pincée à consulter des livres interdits par l'inquisition et a dû quitter Felriane. Elle continuait encore récemment à communiquer avec son vieux mentor.

Accessible à ceux qui ont pu lire la correspondance entre Jehol et Séléne.


Sa thèse repose sur la datation des cultures par leur divergences successives depuis la langue des premiers. Elle inclue notamment le Fehnri comme langue dérivant de la langue des premiers, hypothèse qui n'est bien entendu pas acceptable par l'inquisition.

Implication dans l'enquête Felrianaise

Après l'arrivée d'Althéa et son engueulade avec Rovisto la présenta d'abord à son vieux professeur. Ce dernier accueilli son ancien élève avec moult remontrances, mais prêta bientôt attention au récit d'Althéa. Jehol avait déjà entendu parlé du peu recommandable Monrod de Kerheine, l'autoproclamé "chroniqueur du Royaume des Ondrènes". Jehol avait entendu dire que Monrod de Kerheine était alors retourné rôder à Cassarenne et que, cette fois menacé d'arrestation par l'inquisition qui avait entre temps interdit le site, il avait dû quitter l'archipel précipitamment...

Althéa et son frère, de plus en plus curieux, se partagèrent les tâches:

  • Althéa jouerait de ses contacts à la capitainerie de Farlane pour retrouver la date exacte du départ de l'esneque et des navires "suspects" ayant pris la mer peu après.
  • Rovisto se rendrait à la bibliothèque de Sielle pour y récupérer des cartes marines.
  • Jehol tenterait de rassembler la documentation disponible au collège ducal sur d'éventuelles antiquités ondrènes ou le site "solaire" désormais interdit.


Malheureusement, Jehol s'est fait tué lors du cambriolage de son logement, après s'être fait torturé, par les hornois accompagnant Valeria Torodine.

Accessible aux Talendans ayant participé à l'enquête sur son meurtre.


Jehol de Mélanque avait en sa possession un édition originale de Stratégies & Stratagèmes, incluant les chapitres sur la magie, ainsi qu'un ensemble de pages "imprimées", en vieux hornois, cachées dans un des livres de sa bibliothèque. Les deux tomes ont été confisqué "discrètement" par le chevalier Hivelin de Calonthe.

Si le premier était connu du chevalier de Calonthe (selon ses dires) et de Rovisto (l'ayant emprunté pour ses "recherches"), l'existence du second leur était inconnue.