Dharomjarn (Inflexible Gardien à l'Étendard de la Foi) : Différence entre versions

De Marches du Nord
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Il fait pourtant des efforts importants pour, sinon s'intégrer, du moins supporter les individus que sa culture considère comme inférieurs ([[Remans]]), maudits([[Fehnri]]), voire a peine mieux qu’animaux ([[Emishen]]).  
 
Il fait pourtant des efforts importants pour, sinon s'intégrer, du moins supporter les individus que sa culture considère comme inférieurs ([[Remans]]), maudits([[Fehnri]]), voire a peine mieux qu’animaux ([[Emishen]]).  
 
Ses compétences et ses efforts ont été remarqués par le [[Capitaine Liméric Durgaut|capitaine Durgaut]] qui l'a nommé sergent, et lui a confié, entre autres, le soin d'organiser la conscription à [[Tal Endhil]].
 
Ses compétences et ses efforts ont été remarqués par le [[Capitaine Liméric Durgaut|capitaine Durgaut]] qui l'a nommé sergent, et lui a confié, entre autres, le soin d'organiser la conscription à [[Tal Endhil]].
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== Historique ==
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Âgé d'une vingtaine d'année, Bahardabras se loue comme mercenaire dans les armées impériale depuis son plus jeune âge.
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Vétéran de la guerre des sylves, il a combattait dans les marches du nord dans une unité de mercenaire Hornois.
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Après la dissolution de ces unités, il a été intégré dans la patrouille mercenaire dirigée par le sergent Esic Le Cornu.
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{{Secrets|Norgondram, fils d'Ordrarsh étaient l'une de ces Lames d'Airain déjà âgée, partie planquer la Resplendissante Eordarahl (et sa suite) dont il avait la charge le plus loin possible, c'est à dire au Pays des Sylves, au-delà de la frontière occidentale de l'Empire. Dans cette contrées sauvages et tumultueuse, les serviteurs se sont occupé de bâtir une petite ferme et Norgondram de la défendre contre les hommes-fauves, les démonistes, les pillards et mêmes ces connards de Dalanes (le peuple de la région de Duriane) qui faisaient régulièrement des incursions. Son époux étant mort avant de lui donner une descendance et personne d'autre de sa caste n'étant disponible, la jeune Eordarahl a convenu avec son Gardien qu'il lui donne un fils (les Resplendissantes savent choisir le sexe de leurs enfants), qu'elle a baptisé Dahromjarn, "Espoir", mais que l'on appelait Bahardabras, "Secret", pour le protéger des démons qu'un sorcier "térénide" nommé Juhnwolk avaient promis d'envoyer contre eux après que Norgondram ait éradiqué sa clique (parce qu'ils capturaient leurs servantes pour leurs sacrifices).
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Quoiqu'ils ne s'aimèrent point (mais ça n'a aucune importance quand on a pour mission d'assurer la descendance), les deux parents élevèrent leurs fils dans la tradition guerrière et religieuse hornoise la plus rigoureuse pendant presque 4 ans avant que Juhnwolk ne revienne assouvir sa vengeance avec la bande d'hommes-fauves et les démons qu'il avait asservi, rasèrent la ferme et massacrèrent tous ses occupants, sauf Norgondram qui parvint à achever les sorcier et les derniers assaillants, sauvant son fils de justesse.
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Incompétent dans tout autre domaine que le combat et désormais seul avec une jeune bouche à nourrir, la Lame d'Airain résolu de retourner vers Duriane et de chercher de l'embauche comme mercenaire chez les Remans, beaucoup moins tolérants avec les sorciers que ces décadents de Dalanes (faut au moins leur reconnaitre ça), prenant lui aussi une identité "anonyme" pour plus de sécurité. Son fils a donc grandi parmi les compagnies mercenaires où son père et lui étaient connus comme "les Barbaras", parce c'est plus facile à prononcer, que ça fait vaguement "barbare", que c'est rigolo et que, tant qu'on employait pas leurs Vrais Noms, les deux Hornois s'en foutaient. Eux non plus ne "s'aimaient" pas vraiment car le vieux était quand-même un gros conard d'intégriste mais, quand on a une mission sacrée, c'est pas la question.
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Lorsque Norgondram a finalement trouvé une mort glorieuse sur un champ de bataille de la Guerre des Sylves (vers 80 ans), il avait néanmoins réussi à former un excellent guerrier de presque 16 ans, très respectueux des coutumes et doté d'une armure hornoise complète (que son père a mis plusieurs années à rassembler et ajuster). Ramassant la Lame paternelle, "Barbaras le Jeune" est reparti en quête de combats et d'enseignements... ce qui fut assez laborieux pour le jeune sociopathe sanguinaire et intégriste qui ne savaient encore pas bien lire, parlait mal la Langue des Pères (son père ayant concentré ses maigres talents éducatifs sur l'essentiel : la religion, le combat, l'histoire militaire...) et devaient se soumettre à des quantités invraisemblables de règles emmerdantes.
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Après plus d'un an de relative disette, un Hotar de rencontre lui signala que l'Armée du Nord embauchaient tous les guerriers hornois qu'elle pouvait trouver pour éradiquer les Kormes et, après quelques mois à combattre avec ses semblables dans les montagnes du Pays des Vents, Barbaras eut la malchance de voir son unité dissoute après que son chef, Rordomogar, eut un jour décidé d'édifier un certain général Sigrell de Lorune sur la tradition hornoise et le prochain retour du royaume de Horne "pour lui faire comprendre ce que c'est qu'un vrai guerrier".
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Finalement intégré à une patrouille mercenaire dirigée par le sergent Esic Le Cornu, notre taliban orphelin a découvert en lui un bon chef, tout à fait capable de respecter les devoirs religieux d'un hornois (lui épargnant notamment les beuveries et les virées au bordel) et lui-même passionné d'histoire militaire, avec qui "Barbaras" a, pour la première fois de sa vie, noué des liens d'affection.
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Peu après son 18° anniversaire, "Barbaras" et sa patrouille ont été à nouveau ré-intégré à une troupe plus vaste, escortant la caravane de printemps et un tout nouveau capitaine vers l'avant-poste de Tal Endhil...}}
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Version du 30 mars 2013 à 22:19

Redoutable « Lame d'Airain » issue de l'élite guerrière du royaume de Horne, Bahardabras est issu d'une culture raciste, ségrégationniste, machiste, violente et moralement rigide. Grand, musculeux et équipé d'un armement très supérieur à ce qui se fait dans l'Empire, il fait peur à tout le monde. Il fait pourtant des efforts importants pour, sinon s'intégrer, du moins supporter les individus que sa culture considère comme inférieurs (Remans), maudits(Fehnri), voire a peine mieux qu’animaux (Emishen). Ses compétences et ses efforts ont été remarqués par le capitaine Durgaut qui l'a nommé sergent, et lui a confié, entre autres, le soin d'organiser la conscription à Tal Endhil.


Historique

Âgé d'une vingtaine d'année, Bahardabras se loue comme mercenaire dans les armées impériale depuis son plus jeune âge.

Vétéran de la guerre des sylves, il a combattait dans les marches du nord dans une unité de mercenaire Hornois.

Après la dissolution de ces unités, il a été intégré dans la patrouille mercenaire dirigée par le sergent Esic Le Cornu.


Norgondram, fils d'Ordrarsh étaient l'une de ces Lames d'Airain déjà âgée, partie planquer la Resplendissante Eordarahl (et sa suite) dont il avait la charge le plus loin possible, c'est à dire au Pays des Sylves, au-delà de la frontière occidentale de l'Empire. Dans cette contrées sauvages et tumultueuse, les serviteurs se sont occupé de bâtir une petite ferme et Norgondram de la défendre contre les hommes-fauves, les démonistes, les pillards et mêmes ces connards de Dalanes (le peuple de la région de Duriane) qui faisaient régulièrement des incursions. Son époux étant mort avant de lui donner une descendance et personne d'autre de sa caste n'étant disponible, la jeune Eordarahl a convenu avec son Gardien qu'il lui donne un fils (les Resplendissantes savent choisir le sexe de leurs enfants), qu'elle a baptisé Dahromjarn, "Espoir", mais que l'on appelait Bahardabras, "Secret", pour le protéger des démons qu'un sorcier "térénide" nommé Juhnwolk avaient promis d'envoyer contre eux après que Norgondram ait éradiqué sa clique (parce qu'ils capturaient leurs servantes pour leurs sacrifices).

Quoiqu'ils ne s'aimèrent point (mais ça n'a aucune importance quand on a pour mission d'assurer la descendance), les deux parents élevèrent leurs fils dans la tradition guerrière et religieuse hornoise la plus rigoureuse pendant presque 4 ans avant que Juhnwolk ne revienne assouvir sa vengeance avec la bande d'hommes-fauves et les démons qu'il avait asservi, rasèrent la ferme et massacrèrent tous ses occupants, sauf Norgondram qui parvint à achever les sorcier et les derniers assaillants, sauvant son fils de justesse.

Incompétent dans tout autre domaine que le combat et désormais seul avec une jeune bouche à nourrir, la Lame d'Airain résolu de retourner vers Duriane et de chercher de l'embauche comme mercenaire chez les Remans, beaucoup moins tolérants avec les sorciers que ces décadents de Dalanes (faut au moins leur reconnaitre ça), prenant lui aussi une identité "anonyme" pour plus de sécurité. Son fils a donc grandi parmi les compagnies mercenaires où son père et lui étaient connus comme "les Barbaras", parce c'est plus facile à prononcer, que ça fait vaguement "barbare", que c'est rigolo et que, tant qu'on employait pas leurs Vrais Noms, les deux Hornois s'en foutaient. Eux non plus ne "s'aimaient" pas vraiment car le vieux était quand-même un gros conard d'intégriste mais, quand on a une mission sacrée, c'est pas la question.

Lorsque Norgondram a finalement trouvé une mort glorieuse sur un champ de bataille de la Guerre des Sylves (vers 80 ans), il avait néanmoins réussi à former un excellent guerrier de presque 16 ans, très respectueux des coutumes et doté d'une armure hornoise complète (que son père a mis plusieurs années à rassembler et ajuster). Ramassant la Lame paternelle, "Barbaras le Jeune" est reparti en quête de combats et d'enseignements... ce qui fut assez laborieux pour le jeune sociopathe sanguinaire et intégriste qui ne savaient encore pas bien lire, parlait mal la Langue des Pères (son père ayant concentré ses maigres talents éducatifs sur l'essentiel : la religion, le combat, l'histoire militaire...) et devaient se soumettre à des quantités invraisemblables de règles emmerdantes. Après plus d'un an de relative disette, un Hotar de rencontre lui signala que l'Armée du Nord embauchaient tous les guerriers hornois qu'elle pouvait trouver pour éradiquer les Kormes et, après quelques mois à combattre avec ses semblables dans les montagnes du Pays des Vents, Barbaras eut la malchance de voir son unité dissoute après que son chef, Rordomogar, eut un jour décidé d'édifier un certain général Sigrell de Lorune sur la tradition hornoise et le prochain retour du royaume de Horne "pour lui faire comprendre ce que c'est qu'un vrai guerrier". Finalement intégré à une patrouille mercenaire dirigée par le sergent Esic Le Cornu, notre taliban orphelin a découvert en lui un bon chef, tout à fait capable de respecter les devoirs religieux d'un hornois (lui épargnant notamment les beuveries et les virées au bordel) et lui-même passionné d'histoire militaire, avec qui "Barbaras" a, pour la première fois de sa vie, noué des liens d'affection.

Peu après son 18° anniversaire, "Barbaras" et sa patrouille ont été à nouveau ré-intégré à une troupe plus vaste, escortant la caravane de printemps et un tout nouveau capitaine vers l'avant-poste de Tal Endhil...