Temple des Patriarches : Différence entre versions

De Marches du Nord
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'''Le siège du [[Culte des Pères]] dans les [[Marches du Nord]]''', à la fois cathédrale et forteresse, dont la construction à commencé il y a plus de 20 ans sous la direction d'[[Aristame de Gorme]], et qui n'a cessé de s'agrandir depuis.
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[[Fichier:Bannière-Primat.png|150px|thumb|right|Ne se contentant plus de la bannière du [[Culte des Pères]], le Primat du Nord a établi son propre emblème, où l''''Étoile Première''', exceptionnellement en noir, s'étend sur la neige et l'or des Marches...]]Le '''siège du [[Culte des Pères]] dans les [[Marches du Nord]]''' est sis sur les pentes des [[Montagnes du Tranchoir]] : à la fois cathédrale, abbatiale et forteresse, sa construction à commencé il y a près de 25 ans sous la direction d'[[Aristame de Gorme]], et n'a cessé de s'agrandir depuis pour devenir aujourd'hui une '''cité miniature de 1.600 résidents''' –et ''pas une seule taverne''.
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Planté sur une colline dominant les sources du [[fleuve Cainil]] (qui n'est alors qu'un gros torrent), entouré de champs et pâturages sur presque 2km, l'énorme Primature héberge en fait un large monastère-scriptorium des Consignants (dont les sous-pentes sont, elles, dévolues au [[Chapitre des Index]], unique présence des Pénitents), une '''commanderie templière''' –forte de 8.000 hommes– qui forme la porte Sud de la citadelle, un hospice des Compatissantes, une jolie résidence jouxtée de jardins pour Son Éminence, un vrai petit village d'ateliers variés (parcheminiers, enlumineurs et relieurs, candeliers, tisserands, armuriers, orfèvres, sculpteurs, menuisiers...) et les maisons des quelques 250 ouvriers (paysans, bûcherons, carriers...) qui exploitent les champs, la forêt et la carrière alentour.
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De fait, le Temple aurait sans doute pu devenir un véritable bourg s'il ne '''refusait obstinément de se livrer au commerce'''. À moins qu'on inclut l'activité '''''bancaire''''', puisque la Primature est de loin le plus gros prêteur de toutes les Marches... quoique l'État-Major de Bragone soit l'un de ses rares "clients".
  
 
[[Catégorie:Culte des Pères]]
 
[[Catégorie:Culte des Pères]]

Version actuelle en date du 9 octobre 2022 à 20:17

Ne se contentant plus de la bannière du Culte des Pères, le Primat du Nord a établi son propre emblème, où l'Étoile Première, exceptionnellement en noir, s'étend sur la neige et l'or des Marches...
Le siège du Culte des Pères dans les Marches du Nord est sis sur les pentes des Montagnes du Tranchoir : à la fois cathédrale, abbatiale et forteresse, sa construction à commencé il y a près de 25 ans sous la direction d'Aristame de Gorme, et n'a cessé de s'agrandir depuis pour devenir aujourd'hui une cité miniature de 1.600 résidents –et pas une seule taverne.

Planté sur une colline dominant les sources du fleuve Cainil (qui n'est alors qu'un gros torrent), entouré de champs et pâturages sur presque 2km, l'énorme Primature héberge en fait un large monastère-scriptorium des Consignants (dont les sous-pentes sont, elles, dévolues au Chapitre des Index, unique présence des Pénitents), une commanderie templière –forte de 8.000 hommes– qui forme la porte Sud de la citadelle, un hospice des Compatissantes, une jolie résidence jouxtée de jardins pour Son Éminence, un vrai petit village d'ateliers variés (parcheminiers, enlumineurs et relieurs, candeliers, tisserands, armuriers, orfèvres, sculpteurs, menuisiers...) et les maisons des quelques 250 ouvriers (paysans, bûcherons, carriers...) qui exploitent les champs, la forêt et la carrière alentour.

De fait, le Temple aurait sans doute pu devenir un véritable bourg s'il ne refusait obstinément de se livrer au commerce. À moins qu'on inclut l'activité bancaire, puisque la Primature est de loin le plus gros prêteur de toutes les Marches... quoique l'État-Major de Bragone soit l'un de ses rares "clients".