34) "Les Egarés" : Différence entre versions

De Marches du Nord
Aller à : Navigation, rechercher
(Page créée avec « ==EN TRAVAUX== L'introduction restera inachevée (pour le moment) étant donnée la quantité de secrets dont seuls quelques protagonistes sont informés. La mission, do... »)
 
(Marche d'approche)
Ligne 10 : Ligne 10 :
  
 
=Marche d'approche=
 
=Marche d'approche=
Après avoir reçu leurs ordre, fait leurs paquetages, touché leurs rations et récupéré Célias au fond d'une geôle, les Patrouilleurs et leurs accompagnateurs ont remonté la route vers le Lac Deuxième.<br>
+
Après avoir reçu leurs ordres, fait leurs paquetages, touché leurs rations et récupéré Célias au fond d'une geôle, les Patrouilleurs et leurs accompagnateurs ont remonté la route vers le Lac Deuxième.<br>
 
Dans un touchant ensemble, militaires et civils ont passé une grande partie de la journée à marcher en désordre, lentement et sans guère prendre garde à leurs alentours... au grand dam du sergent, fermement décidée à reprendre cela en main au plus tôt.
 
Dans un touchant ensemble, militaires et civils ont passé une grande partie de la journée à marcher en désordre, lentement et sans guère prendre garde à leurs alentours... au grand dam du sergent, fermement décidée à reprendre cela en main au plus tôt.
  

Version du 17 septembre 2019 à 14:33

EN TRAVAUX

L'introduction restera inachevée (pour le moment) étant donnée la quantité de secrets dont seuls quelques protagonistes sont informés.

La mission, donnée conjointement par Durgaut et Kal Tayvohn, concerne donc :

Marche d'approche

Après avoir reçu leurs ordres, fait leurs paquetages, touché leurs rations et récupéré Célias au fond d'une geôle, les Patrouilleurs et leurs accompagnateurs ont remonté la route vers le Lac Deuxième.
Dans un touchant ensemble, militaires et civils ont passé une grande partie de la journée à marcher en désordre, lentement et sans guère prendre garde à leurs alentours... au grand dam du sergent, fermement décidée à reprendre cela en main au plus tôt.

Accueilli sur la route par Kal Tayvohn et Songe-des-Rochers, la patrouille s'est vu interdire l'accès au village - Durgaut préférait que ses hommes ne soient pas en contact avec des civils, et le chaman s'était rendu à ses raisons. La soirée s'est donc déroulée à deux lieues du village, autour d'un yourte préparée par le chaman.
Elle fut l'occasion pour la troupe d'en apprendre un peu plus sur le trajet à venir et ce qui attendait de l'autre côté de la Cordillère des Soupirs. Songe rapporte, sans trop en dire, l'étrange malédiction qui a touché ses compagnons dans les Vallées sauvages. Elle expose l'adversité : la troupe d’Arkonnelkan qui sont à la recherche du même lieu que les Patrouilleurs (en aparté, Kal Tayvohn les évalue à quatre ou cinq hommes, sans chaman ou sorcier, partis nuitamment de la Croisé des Pistes), les hommes-fauves, les géants sauvages, la faune locale. Le chaman précise à peu-près la route : une journée jusqu’à la première escalade, puis la grande falaise avant le col des Parleurs (300 mètres d’a-pic) puis descente vers les Vallées Sauvages.
Nadine parvient, malgré une certaine réticence de certains, à mettre en place des binômes pour les tours de garde. La nuit se passe sans encombre.

Premier jour

Réveillés par les "hou-hou" d'un jeune géant accompagnant Kal Tayvohn pour porter le matériel, la troupe s'équipe et se met en branle. Des adieux assez secs marquent alors le départ de l’expédition.
La troupe avance dans la forêt pour trouver la rivière des Palabres. Andréas traîne la patte, est motivé (sic) par Célias avec lequel il a une longue discussion théologique autour du miracle de la Mine Bénie. A la pause, Nadine tente d’inculquer les signes de chasses aux Dirsen, sans succès. La rivière est atteinte peu après, elle est gelée en partie. La neige est de plus en plus haute. L’escalade, assez simple, se passe plutôt bien pour atteindre le plateau. Comme prévu, le "pont" de tronc, en travers de la cascade, est praticable - mais il faudra attendre le matin pour cela.
Songe admet sa surprise d'avoir tenu un aussi bon rythme alors que le campement s'installe.