Système de fanaux de Tal Endhil

De Marches du Nord
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Tal Endhil utilise des fanaux pour assurer la communication entre ses différents forts et avants postes. Un fanal consiste, grossièrement, en une grosse lanterne muniee d'un réflecteur (miroir) qui permet de diriger, par ocultations répétées, des signaux lumineux vers un correspondant (lui aussi doté d'un fanal, ce qui permet de communiquer).

Des Fanaux sont installés à Tal Endhil, à la Mine Bénie, Au fort de la passe de Nilfenan, à la mine du Camail, à fort Trevan, à celui du gué des Anguilles.

Pour compléter le système, d'autres tours seront ajoutées à Écume 6 (peut être même un phare), sur la rive du Ferrin au pied des Monts Arcelets et au sommet des collines surplombant Klal'Bolan (à l'est du Lac Quatrième).

Lorsque tout cela sera en place, les guetteurs de Fort Trevan devraient ainsi apercevoir le phare d'Écume 6, et pouvoir retransmettre les alertes de proche en proche, jusque vers les garnisons de Nilfenan, de Ker Endhil ou, s'il le fallait, à Tal Endhil, ce qui permettra de réagir à toute incursion venue de l'est.


Concernant les fanaux (-1 pion), le problème de sources lumineuses voisines vues à grande distance étant à peu près insoluble sur d'étroites tours de guet, considère que tu n'as qu'un seul feu par lieu. De là, le tout premier signal que doit pouvoir transmettre chaque fanal, comme dans tout système de communication, c'est "attention, je vais émettre" et sa nécessaire réponse "vas-y, je te lis" : ça c'est tout con, ça consiste pour l'émetteur à allumer le fanal et, si la visibilité est mauvaise, à clignoter comme un furieux jusqu'à ce que le récepteur se mette à faire de même, la transmission peut alors commencer. S'il est utile de pouvoir signaler la fin volontaire d'un message, pour la distinguer d'une interruption involontaire, mais ça peut en fait être une variante du signal de départ.

Évidemment, chaque transmission vient avec une méta-donnée utile mais relative qui est "quelle tour émet" : c'est relatif car ce n'est visible que par le relais suivant, mais c'est déjà transmissible si c'est codé...

Le code lui-même n'a pas vraiment besoin d'être binaire : comme pour le morse, il peut être aisément quaternaire en alternant des phases longues et des phases courtes. En considérant que tout ce qui suit le signal de début est "du message" jusqu'au signal de fin, on se retrouve donc avec 4 signes : lumière court (.), noir court (espace), lumière long ( _ ) et noir long (