Lalsyani : Différence entre versions

De Marches du Nord
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[[Fichier:Lalnyhari-01.png|130px|right]]Âgée de 12 printemps et ainsi déjà "adulte", '''l'Estimée Lalsyani''', fille cadette de la Révérée Maîtresse '''[[Lalsangzuali]]''', est depuis peu l''''ambassadrice des [[Lalnyhari]]''' à [[Tal Endhil]], et donc l'émissaire du puissant matriarcat de [[Fehn]]. Malgré son inexpérience, elle s’acquitte de sa mission avec tout le sérieux et l'élégance attendus de sa prestigieuse lignée, grâce aux bons conseils de son subtil secrétaire, '''[[Devanagari Lalsangesh]]''', et la protection de sa colossale garde-du-corps en armure de bois, '''Tepkal'''.<br>
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[[Fichier:Lalnyhari-01.png|130px|right]]Née dans le lointain Royaume de Singhal il y a 12 printemps et donc déjà "adulte", '''l'Estimée Lalsyani''', fille cadette de la Révérée Maîtresse '''[[Lalsangzuali]]''', est depuis peu l''''émissaire des [[Lalnyhari]]''' à [[Tal Endhil]], c'est à dire une ambassadrice du puissant matriarcat de [[Fehn]]. Malgré son inexpérience, elle s’acquitte de sa mission avec tout le sérieux et l'élégance attendus de sa prestigieuse Lignée, grâce aux bons conseils de son subtil secrétaire, '''[[Devanagari Lalsangesh]]''', et la protection de sa colossale garde-du-corps en armure de bois, '''Tepkal'''.<br>
 
Avec le reste de leur petite délégation, comprenant la Distinguée Apothicaire Nehandiri et un vieux serviteur "pas du tout esclave" nommé Huzir, ils sont pour l'instant les '''hôtes de l'Honorable [[Adira]]''' à la [[Brasserie du Géant]]...
 
Avec le reste de leur petite délégation, comprenant la Distinguée Apothicaire Nehandiri et un vieux serviteur "pas du tout esclave" nommé Huzir, ils sont pour l'instant les '''hôtes de l'Honorable [[Adira]]''' à la [[Brasserie du Géant]]...
  

Version du 19 mai 2021 à 22:16

Lalnyhari-01.png
Née dans le lointain Royaume de Singhal il y a 12 printemps et donc déjà "adulte", l'Estimée Lalsyani, fille cadette de la Révérée Maîtresse Lalsangzuali, est depuis peu l'émissaire des Lalnyhari à Tal Endhil, c'est à dire une ambassadrice du puissant matriarcat de Fehn. Malgré son inexpérience, elle s’acquitte de sa mission avec tout le sérieux et l'élégance attendus de sa prestigieuse Lignée, grâce aux bons conseils de son subtil secrétaire, Devanagari Lalsangesh, et la protection de sa colossale garde-du-corps en armure de bois, Tepkal.

Avec le reste de leur petite délégation, comprenant la Distinguée Apothicaire Nehandiri et un vieux serviteur "pas du tout esclave" nommé Huzir, ils sont pour l'instant les hôtes de l'Honorable Adira à la Brasserie du Géant...

Lalsyani-01.jpg

En net contraste avec sa mère esthète, savante et distinguée, la jeune Lalsyani manifeste un tempérament aventureux (pour ne pas dire casse-cou) qui la pousse davantage vers les activités physiques (la voile, la danse, l'archerie et, depuis peu, l'équitation) que le savoir livresque et les subtilités diplomatiques auxquelles on la destinait. Si la jeune femme semble s'appliquer à assumer de son mieux sa charge d'ambassadrice, certaines mauvaises langues vont même jusqu'à murmurer que c'est dans l'espoir de "lui faire les pieds" (ou carrément pour l'éloigner du Khujayan de Farlane ?) que la Révérée Maîtresse l'a expédiée à Tal Endhil...

Secret réservé aux descendant·es de Lalhyna :

Bien que ça n'ait aucun rapport avec sa présence dans les Marches du Nord, les Matrones de Lalnyha ont pris grand soin de dissimuler le fait que Lalsyani n'avait guère de dispositions pour ce que Fehn appelle la "màjhi" : la jeune femme ne manque ni d'intelligence ni de volonté mais, malgré un enseignement très rigoureux, elle semble jusqu'ici incapable d'exécuter les sortilèges les plus basiques. Ce qui est non seulement assez honteux mais surtout politiquement dangereux au sein de la société Fehnri, et tout particulièrement pour l'Estimée cadette de la révérée Lalsangzuali, au point que les femmes de sa maisonnée avait même caché la véritable ampleur du problème à Devanagari, pourtant le précepteur de Lalsyani.

C'est en tous cas dans l'espoir de combler cette sérieuse lacune que la délégation envoyée à Tal Endhil s'est vue adjoindre l'alchimiste Nehandiri, son art étant considéré comme « la voie de celles dont la Màn est plus intellectuelle que viscérale » (quoique des pédantes prétendent que c'est "la màjhi de celles qui n'ont pas de talent").