Lalsangzuali : Différence entre versions

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==l'Hibiscus de Samudra==
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==l'Orchidée de Samudra==
Née il y a un peu plus de 40 ans de  
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Lorsque Lalyordrah fut couronnée Reine des Lalnyhari il y a 42 ans <ref>En éliminant sa prédécesseuse, comme le veut la tradition...</ref>, elle nomma comme ambassadrice auprès du '''[[Royaume de Singhal]]''' l'une de ses "sœurs" les plus dévouées, Lalsanûrdi, et l'autorisa à enfanter : c'est ainsi que sa fille unique, Lalsangzuali, naquit l'année suivante dans un comptoir maritime récemment ouvert à Samudra. <br>
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Pendant que sa mère y développait le négoce malgré le conflit grandissant entre Singhal et la [[:Catégorie:Lalnyhari#Au royaume de Singhal|Lignée militaire de Rhûda]], Lalsangzuali reçu une éducation aussi complète que raffinée que n'éclipsaient que sa beauté et son talent pour la danse. Sa renommée à la cour lui valu le surnom d'''Orchidée de Samudra'', et l'on prétend que plusieurs princes singhalais s'entretuèrent pour l'honneur de la cueillir –en vain : c'est avec le cadet de leurs généraux quelle eut sa première fille, '''Lalsihndrà''', il y a 19 ans.<br>
  
* Lignée de Lalnyha, personnalité
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Quand Lalsanûrdi mourut l'année suivante, Lalsangzuali devînt à son tour la matriarche de leur maisonnée et poursuivi avec brio son œuvre diplomatique : les navigateurs [[kerdans]] s'étant entretemps immiscés dans le conflit aux [[Îles Mordorées]], les relations de la Révérée Maîtresse à la cour de Singhal, sa liaison avec un seigneur-pirate de la mer des Myriades (qu'on dit être le père de sa seconde fille, '''[[Lalsyani]]'''), une nouvelle alliance avec la dynastie des [[Lusiarine]] et une maîtrise de l''''astrologie''' confinant paraît-il à la divination lui permirent d'évincer les puissants [[Venderine]], de soutenir un nouveau prétendant au trône de Singhal et de négocier une paix qui freina finalement l'expansion militaire des Rhûdari (à leur grand dam, évidemment).<br>
* Samudra, famille, commerce → #2 Khujayan → paix  
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Ainsi devenue '''l'ambassadrice la plus en vue de Fehn''', Lalsangzuali plaça son aînée parmi les conseillères de la Reine et pris la tête du Khujayan de Samudra, d'où elle dirigea par la suite l'expansion commerciale (et maritime) vers [[Horne]] et le jeune Empire de Rem.
  
== K. de Farlane ==
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Sa maisonnée possède aujourd'hui une '''flotte de jonques''' assurant un commerce extrêmement fructueux à travers les [[Mers Serpentines]], mais la Révérée Maîtresse Lalsanzuali est tout aussi réputée comme '''esthète''', mécène des arts et arbitre des élégances, elle-même poétesse et calligraphe <ref>Si les médiums visuels –peinture, architecture, décoration, bijouterie, broderie...– ont une grande importance dans la culture fehnrique, les Lalnyhari excellent dans l'art subtil d'écrire comme on dessine.</ref> aimant à s'entourer de serviteurs aussi beaux que dévoués, comme '''son cher "Colibri" [[Devanagari Lalsangesh|Devanagari]]''' (son secrétaire particulier, messager et précepteur de sa fille cadette, Lalsyani).
* promue à la tête du K. de Farlane → Lalsyani +Devanagari, Lalnamûrti
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== Felriane et au-delà ==
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* Ambassades infructueuses sur la [[Côte du Levant]],
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* rapprochement avec les [[Loryame]] et [[:Catégorie:Lalnyhari#Riger, Felriane et les Marches du Nord|arrivée à Felriane]],
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* [[Adira Pratesh]], les [[Sotorine]] et les récentes délégations nordiques
  
  

Version actuelle en date du 19 mai 2021 à 22:18

Lalnyhari-01.png
Matriarche de la Lignée de Lanyha, conseillère de la Reine Lalyordrah et émissaire de sa Mahasivrah – la Maison Royale, fondatrice du Khujayan de Felriane et de fait ambassadrice plénipotentiaire de Fehn dans l'Empire de Rem, la Révérée Maîtresse Lalsangzuali est possiblement la Fehnri la plus puissante de tout le Continent.

À la fois diplomate, négociante, astrologue [1] et esthète, à la tête d'une immense fortune et d'une vaste maisonnée, mécène des arts et des sciences, cette femme aux moyens considérables a endossé une charge tout aussi colossale : empêcher la guerre entre Fehn et l'Empire.

Lalsangzuali-01.jpg

l'Orchidée de Samudra

Lorsque Lalyordrah fut couronnée Reine des Lalnyhari il y a 42 ans [2], elle nomma comme ambassadrice auprès du Royaume de Singhal l'une de ses "sœurs" les plus dévouées, Lalsanûrdi, et l'autorisa à enfanter : c'est ainsi que sa fille unique, Lalsangzuali, naquit l'année suivante dans un comptoir maritime récemment ouvert à Samudra.
Pendant que sa mère y développait le négoce malgré le conflit grandissant entre Singhal et la Lignée militaire de Rhûda, Lalsangzuali reçu une éducation aussi complète que raffinée que n'éclipsaient que sa beauté et son talent pour la danse. Sa renommée à la cour lui valu le surnom d'Orchidée de Samudra, et l'on prétend que plusieurs princes singhalais s'entretuèrent pour l'honneur de la cueillir –en vain : c'est avec le cadet de leurs généraux quelle eut sa première fille, Lalsihndrà, il y a 19 ans.

Quand Lalsanûrdi mourut l'année suivante, Lalsangzuali devînt à son tour la matriarche de leur maisonnée et poursuivi avec brio son œuvre diplomatique : les navigateurs kerdans s'étant entretemps immiscés dans le conflit aux Îles Mordorées, les relations de la Révérée Maîtresse à la cour de Singhal, sa liaison avec un seigneur-pirate de la mer des Myriades (qu'on dit être le père de sa seconde fille, Lalsyani), une nouvelle alliance avec la dynastie des Lusiarine et une maîtrise de l'astrologie confinant paraît-il à la divination lui permirent d'évincer les puissants Venderine, de soutenir un nouveau prétendant au trône de Singhal et de négocier une paix qui freina finalement l'expansion militaire des Rhûdari (à leur grand dam, évidemment).
Ainsi devenue l'ambassadrice la plus en vue de Fehn, Lalsangzuali plaça son aînée parmi les conseillères de la Reine et pris la tête du Khujayan de Samudra, d'où elle dirigea par la suite l'expansion commerciale (et maritime) vers Horne et le jeune Empire de Rem.

Sa maisonnée possède aujourd'hui une flotte de jonques assurant un commerce extrêmement fructueux à travers les Mers Serpentines, mais la Révérée Maîtresse Lalsanzuali est tout aussi réputée comme esthète, mécène des arts et arbitre des élégances, elle-même poétesse et calligraphe [3] aimant à s'entourer de serviteurs aussi beaux que dévoués, comme son cher "Colibri" Devanagari (son secrétaire particulier, messager et précepteur de sa fille cadette, Lalsyani).


Felriane et au-delà


  1. Certains disent même "devineresse".
  2. En éliminant sa prédécesseuse, comme le veut la tradition...
  3. Si les médiums visuels –peinture, architecture, décoration, bijouterie, broderie...– ont une grande importance dans la culture fehnrique, les Lalnyhari excellent dans l'art subtil d'écrire comme on dessine.