Lalindukhala : Différence entre versions

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Souriante et sociable, elle semble parfaitement s’épanouir en compagnie d’un groupe conséquent, très à l’aise en public. Elle a le rire facile, est très curieuse et parle la Langue des Pères avec un accent chantant.
 
Souriante et sociable, elle semble parfaitement s’épanouir en compagnie d’un groupe conséquent, très à l’aise en public. Elle a le rire facile, est très curieuse et parle la Langue des Pères avec un accent chantant.
  
 
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Née au sein du vaste Khujayan tropical de [[Royaume de Singhal|Samudra]], Lalindukhala est la dernière fille de l''''Adulée Arcaniste Lalyenirdù''', autrefois la "màjhicienne en cheffe" de la ''Regrettée'' Maîtresse Lalsanûrdi : quand celle-ci est décédée (il y a un peu plus de 20 ans), sa fille  [[Lalsangzuali]] lui a succédé comme Révérée Maîtresse de leur Maisonnée et a peu à peu remplacé les conseillères de sa défunte mère par ses propres alliées.  
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[[Fichier:Lalindukhala-01.jpg|230px|left]]Née au sein du vaste Khujayan tropical de [[Royaume de Singhal|Samudra]], Lalindukhala est la dernière fille de l''''Adulée Arcaniste Lalyenirdù''', autrefois la "màjhicienne en cheffe" de la ''Regrettée'' Maîtresse Lalsanûrdi : quand celle-ci est décédée (il y a un peu plus de 20 ans), sa fille  [[Lalsangzuali]] lui a succédé comme Révérée Maîtresse de leur Maisonnée et a peu à peu remplacé les conseillères de sa défunte mère par ses propres alliées.  
  
La vieille Arcaniste a sans doute espéré que sa fille cadette prendrait un jour sa suite, mais la petite Indukhala était bien plus intéressée par les voyages et la découverte de nouvelles peuplades que par les "arts" maternels : elle étudia les lettres et les langues auprès du '''Pavillon des [https://fr.wikipedia.org/wiki/Copihue Lianes-Galantes]''', l'institut qui forme les diplomates de la Maison Royale de Lalnyha. Devenue une Envoyée (soit une diplomate de 3° rang), elle rejoignit naturellement les rangs du nouveau Khujayan de Felriane puis, ayant étudié la culture remane, Lalindukhala se porta volontaire dès que l''''Adulée Ambassadrice Lalnamûrti''' forma une délégation pour représenter leur Lignée à [[Aroche]], où elle acquit rapidement le rang de ''Distinguée'' Envoyée...
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La vieille Arcaniste a sans doute espéré que sa fille cadette prendrait un jour sa suite, mais la petite Indukhala était bien plus intéressée par les voyages et la découverte de nouvelles peuplades que par les "arts" maternels : elle étudia les lettres et les langues auprès du '''Pavillon des [https://fr.wikipedia.org/wiki/Copihue Lianes-Galantes]''', l'institut qui forme les diplomates de la Maison Royale de Lalnyha. Devenue une Envoyée (soit une diplomate de 3° rang, derrière les Émissaires et les Ambassadrices), elle rejoignit naturellement les rangs du nouveau Khujayan de Felriane puis, ayant étudié la culture remane, Lalindukhala se porta volontaire dès que l''''Adulée Ambassadrice Lalnamûrti''' forma une délégation pour représenter leur Lignée à [[Aroche]], où elle acquit rapidement le rang de ''Distinguée'' Envoyée...
  
  

Version du 26 novembre 2022 à 16:25

Lalnyhari-01.png
La Distinguée Envoyée du Khujayan Lalindukhala est plutôt menue, plus jolie que belle mais merveilleusement charmante, et plutôt pâle pour une Fehnri. Elle a de grands yeux marrons, de long cheveux noirs qu’elle aime décorer de bijoux et le sourire facile.

Souriante et sociable, elle semble parfaitement s’épanouir en compagnie d’un groupe conséquent, très à l’aise en public. Elle a le rire facile, est très curieuse et parle la Langue des Pères avec un accent chantant.


Origine

Lalindukhala-01.jpg
Née au sein du vaste Khujayan tropical de Samudra, Lalindukhala est la dernière fille de l'Adulée Arcaniste Lalyenirdù, autrefois la "màjhicienne en cheffe" de la Regrettée Maîtresse Lalsanûrdi : quand celle-ci est décédée (il y a un peu plus de 20 ans), sa fille Lalsangzuali lui a succédé comme Révérée Maîtresse de leur Maisonnée et a peu à peu remplacé les conseillères de sa défunte mère par ses propres alliées.

La vieille Arcaniste a sans doute espéré que sa fille cadette prendrait un jour sa suite, mais la petite Indukhala était bien plus intéressée par les voyages et la découverte de nouvelles peuplades que par les "arts" maternels : elle étudia les lettres et les langues auprès du Pavillon des Lianes-Galantes, l'institut qui forme les diplomates de la Maison Royale de Lalnyha. Devenue une Envoyée (soit une diplomate de 3° rang, derrière les Émissaires et les Ambassadrices), elle rejoignit naturellement les rangs du nouveau Khujayan de Felriane puis, ayant étudié la culture remane, Lalindukhala se porta volontaire dès que l'Adulée Ambassadrice Lalnamûrti forma une délégation pour représenter leur Lignée à Aroche, où elle acquit rapidement le rang de Distinguée Envoyée...


Statut dans la Maisonnée de Lalsangzuali

► Réservé aux PJ Lalnyhari :
Nettement plus jeune que la Regrettée Maîtresse Lalsanûrdi, l'Adulée Arcaniste Lalyenirdù fût longtemps sa plus proche conseillère, mais aussi la préceptrice de sa fille unique Lalsangzuali. Déjà âgée et épuisée par des décennies d'intrigues à Singhal, Lalsanûrdi s'éteignit donc volontiers dès que sa fille fût enceinte (d'un général singhalais) et en âge de lui succéder, la confiant aux bons soins de sa "marraine".

Malheureusement, l'Orchidée de Samudra se trouva particulièrement affaiblie par sa première grossesse et, pendant qu'elle était indisposée, sa marraine gagna grandement en influence sur la Maisonnée : au lieu d'en rester aux affaires màjhiques, Lalyenirdù se mêla bientôt de politique, de commerce, de diplomatie... À peine sa filleule avait-elle accouché de sa première enfant que l'Arcaniste presque quadragénaire s'offrit le luxe d'en concevoir une troisième, qu'elle destinait à devenir la plus puissante màjhicienne de sa génération.
Comme Lalyenirdù n'avait donc aucune intention de s'éteindre pour laisser la place aux jeunes générations, Lalsangzuali comprit qu'il lui faudrait l'écarter de force si elle voulait effectivement régner. Mais Lalyenirdù était une Arcaniste trop puissante pour être attaquée de front et –depuis qu'elle avait placé ses deux filles aînées comme màjhiciennes auprès de la Reine Lalyordrah– une Matriarche trop influente pour être aisément évincée. Heureusement, comme c'était aussi une emmerdeuse patentée, la jeune Maîtresse réalisa qu'elle pouvait se procurer des moyens d'actions inatteignables par sa marraine : des alliées.

C'est parmi les ennemies de Lalyenirdù qu'elle finit par découvrir une màjhicienne déjà âgée, non moins savante mais bien plus discrète depuis que l'envahissante Arcaniste l'avait confinée à son laboratoire : Laliorijdhel. Nul ne sait vraiment comment manœuvrèrent la jeune Matriarche et la vieille sorcière mais, dans les années qui suivirent, Lalyenirdù connu bien des déboires : sa fille aînée perdit son poste au sein de la Maison Royale suite à un scandale encore confidentiel aujourd'hui (ce qui ne manque pas de surprendre, tant les Fehnri aiment les potins), l'Arcaniste manqua d'être tuée par un sort ayant échappé à son contrôle et, à sa grande honte, sa cadette Lalindukhala démontra un évident désintérêt pour les arts màjhiques[1].
En quelques années, l'emprise de Lalsangzuali augmenta à mesure que le prestige de Lalyenirdù s'étiolait, jusqu'à ce que la vieille Laliorijdhel publie une théorie du démonisme qui fit bientôt fureur jusqu'à l'Assemblée des Reines : lorsque la Révérée Maîtresse l'éleva au rang d'Arcaniste en remplacement de Lalyenirdù, même la Maison Royale approuva ce choix avec enthousiasme...


► Réservé aux proches de la Révérée Maîtresse :
Née pour « venger » sa mère et redorer le blason familial, les talents en màjhi de Lalindukhala se révélèrent au mieux médiocres. Elle s’avéra cependant très douée dans un autre domaine très utile à sa Lignée : l’espionnage et la manipulation. Bientôt éduquée à toutes les subtilités de l’étiquettes fehnrique, aux arts et aux lettres

Lalyenirdù, décidant de tirer parti de ce qu’elle considérait comme un échec relatif, a tenté de pousser sa dernière-née à se placer avantageusement dans l'entourage de "l'ingrate Lalsangzuali" afin d'y découvrir des failles pour se venger de sa déchéance.
Mais Lalyenirdù a surestimé son influence sur sa cadette : malheureusement pour elle, la jeune fille n’est que peu intéressée par la restauration de l’honneur familiale, et plus curieuse de tester ses propres limites que par le renversement de la hiérarchie actuelle.

Elle n’a cependant pas prévenu sa mère de cet état de fait, préférant se ranger en secret du coté de la Révérée Maîtresse jusqu'à ce que, l'année dernière, on lui décerner le surnom de "Pupille de Lalsangzuali" : à la fois adoptée dans son entourage, et l'informatrice directe de la Matriarche. En fait, après le départ de Lalsyani et Devanagari pour les Marches du Nord, Lalindukhala a remplacé le Colibri comme secrétaire puis comme amante de la Révérée Maîtresse, détail dont elle n'a évidemment pas prévenu sa mère.
En réalité, elle manigance de son coté pour être affectée à l’ambassade darverine, dont elle a lu les rapports et qui lui semble bien plus riche de défis....

Mais, bien avant d'obtenir cette promotion, elle a été expédié à Aroche au sein de la délégation de l'Adulée Lalnamûrti, puis laissée en arrière quand celle-ci a dû se replier sous les assauts de la terrible Saraatsha, pour participer au noyautage de la cité portuaire dans l'équipe secrète de Praona : au bout de quelques mois, l'habile Lalindukhala est même parvenue à infiltrer la Ruche des Braseros d'Améthyste...
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► Réservé aux PJ qui connaissent Lalindukhala de près :
Calculatrice, Lalindukhala n’apprécie rien de plus qu’un bon défis. Elle utilise son aisance et son instinct pour récupérer des informations sur ceux qui l’entourent. Bien qu’elle soit très douée pour deviner les émotions de son entourage, Lalindukhala est elle-même peu versée dans ce genre de débordements sentimentaux inutiles. Elle utilise son apparence à son avantage.


  1. D'éminentes arcanistes prétendent que la Màn s'épuise avec chaque naissance, des Rectrices affirment plutôt qu'il est inutile de vouloir modeler sa descendance : en tous cas, il est assez courant que les màjhiciennes qui osent une troisième fille la découvre dénuée de talent, ou d'envie.


Fiche


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