Jornil "Cuivré" : Différence entre versions

De Marches du Nord
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Après cette cascade de catastrophes survenue en moins de 3 mois, Jornil est devenu très amer, au point de se décider finalement à prendre sa retraite, passant la main à son gendre '''[[Midral "Cuivré"]]''' durant les [[Fêtes#Solstice d'Été|célébrations du solstice d'été]] de l'an 37. <br>
 
Après cette cascade de catastrophes survenue en moins de 3 mois, Jornil est devenu très amer, au point de se décider finalement à prendre sa retraite, passant la main à son gendre '''[[Midral "Cuivré"]]''' durant les [[Fêtes#Solstice d'Été|célébrations du solstice d'été]] de l'an 37. <br>
Bien lui en a pris car, peu après cette passation de pouvoir, Jornil s'est brisé le cou un soir d'ivresse, dans une malencontreuse chute d’escalier.  
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'''Bien lui en a pris car, peu après cette passation de pouvoir, Jornil s'est brisé le cou un soir d'ivresse, dans une malencontreuse chute d’escalier.''' Son gendre a néanmoins repris ses affaires... 
  
 
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Version du 28 septembre 2016 à 23:40

Maître Jornil, originaire d'Anguedale, était tout à la fois le patron de la mine de cuivre de Solerane, le président de la guilde minière locale et un négociant aisé, dont les caravanes et l'influence s'étendaient jusqu'à Darverane et Archerune. Les mauvaise-langues racontent pourtant que c'est par la contrebande qu'il sétait le plus enrichi...

Âgé d'une cinquantaine d'année, sa large carrure s’affaissant peu à peu en bedaine sous le poids des ans, Jornil Cuivré était veuf, père de quatre enfants et grand-père lui-même:

  • sa fille aînée, Quérenne, a épousé un marchand de métaux nommé Midral dont elle a eu trois enfants de 7 à 2 ans,
  • son fils préféré, Jorem, aurait sans doute hérité de la fortune familiale s'il n'avait trouvé la mort aux mains de Kormes sanguinaires au printemps dernier.
  • sa fille cadette de 13 ans, Clélia, est maintenant à la recherche d'un mari et
  • son benjamin, Almund, novice à l'abbaye de Brasure.

Homme de poigne, il dirigeait sa mine de cuivre et ses autres activités d'une main de fer, pesant largement sur l'économie locale, et par là sur les décisions du capitaine Tremont comme du Sénéchal Quentos. Associé ou créditeur de nombreux commerçants dans la région, il était notamment en affaires avec le colporteur fehnri Adira Pratesh ou Maître Vorbryn de Celanire.
On prétend aussi que, par son fils Jorem, il aurait entretenu des relations avec la Pègre du nord et peut-être même la Confrérie du Chacal.
Mais toutes ses activités ont récemment subis de lourd revers. En effet des charpentiers de sa mine l'ont quitté pour la concurrence après un accident, puis un de ses convois de minerai a été attaqué par les Kormes ayant (brièvement) assiégé l'Auberge du Pont durant la Huitaine 5 : c'est là que son fils prodigue a trouvé la mort, et Jornil en a été très affecté.

Comme si cela ne suffisait pas, les mêmes Kormes, après avoir fureté quelques jours autour de Solerane durant la Huitaine 10, se sont enhardi jusqu'à attaquer sa mine de cuivre, qui recélait alors la soixantaine d'esclaves en sa possession. Ces esclaves, pour la plupart Otlalnan ou Rimdehl, creusaient jusqu'alors ses propres filons ou étaient loués à bon prix par la mine d'argent voisine : mais soudain, en une nuit, ils se sont tous échappé mystérieusement...

Après cette cascade de catastrophes survenue en moins de 3 mois, Jornil est devenu très amer, au point de se décider finalement à prendre sa retraite, passant la main à son gendre Midral "Cuivré" durant les célébrations du solstice d'été de l'an 37.
Bien lui en a pris car, peu après cette passation de pouvoir, Jornil s'est brisé le cou un soir d'ivresse, dans une malencontreuse chute d’escalier. Son gendre a néanmoins repris ses affaires...