Huitaine 11 : Différence entre versions

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* Retour à Tal Endhil des "Arochais" (nouveaux colons) et des [[templiers]] de [[Bagoran de Marale]],
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'''Croissante des Fenaisons''' (cf. [[calendrier]])
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== Retour à Tal Endhil des "Arochais" (nouveaux colons) et des [[templiers]] de [[Bagoran de Marale]] ==
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Aux premiers jours de la Huitaine 11, la rumeur d'une troupe de cavaliers approchant par la route du sud, colportée par des cavaliers [[Emishen]], a secoué tout le village.
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Ils sont passé par le poste de garde au pied de la [[Passe de Nilfenan]], salués par une garde composée dans l'après-midi de Meled croissant des Fenaisons (Huitaine 11 - Jour 2), c'est une petite armée qui est entrée par le pont sur le fleuve pour s'aligner en bon ordre au pied du donjon. Derrière le porte-étendard tendant l’oriflamme du Culte vers le ciel et le Commandeur Bagoran de Marale, vingt-cinq chevaliers en cottes de mailles rutilantes, encore autant de fantassins lourdement armés, des éclaireurs, des chiens et même une trentaine de conscrits ont présenté les armes, malgré la fatigue, les blessures et les mères fébriles qui murmuraient dans l'assistance.
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Après avoir installer un campement de fortune à la porte nord, tous ont attendu dans la discipline que le [[Capitaine Durgaut]] décide s'il libérait les conscrits à leur famille.
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Mais surtout, au soir d'Hered (H11 - J3), les barges kerdanes remontant le fleuve vers le village ont été accueillies par une grande clameur :
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Et ils n'étaient pas seuls.
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Dans le crépuscule finissant, à la lumière des torches et des lampions, ont bientôt débarqué au quartier lacustre un [[Adira Pratesh]] triomphant, [[Bahardabras|Bahardabras le Hornois]] (qu'il ne faut appeler comme ça, il paraît), [[Mérane|Mérane Roulier]] habillée en vraie dame, [[Nadine| la Moucheuse]], [[Islinna]] et [[Bartolome Sotorine]]. Ils ramenaient avec eux toutes sortes de marchandises, des semences en retard, des machines étranges et des présents, mais aussi toute une foule de nouvelles têtes :
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* Une quinzaine de "Hotars", les impressionnants mercenaires hornois,
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* Une poignée de [[Kerdans]], surtout des cousins de la grande ville mais aussi une sorte de grand dadet avec une longue aiguille en guise d'épée et sa maman grabataire,
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* Un jeune troubadour nommé [[Alenn le Rimeur]] qui a tenu à donner un concert le soir même à l'[[Auberge du Cygne]],
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* Une 12aine de familles de colons, ouvriers, paysans et artisans qui seront bientôt employés à la mine ou fonderont de nouvelles fermes alentours. Parmi eux, un jeune m'es-tu-vu nommé [[Erinar]] qui se prétend "maître-brasseur" et un fondeur ventru qui s'est précipité dans les bras de son cousin [[Hartan]], votre courageux maréchal-ferrant
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Quand la Taverne Penchée a fermé pour accueillir une soirée privée entre privilégiés, les soiffards habituels et les filles de joie étaient déjà presque tous partis au spectacle qui se tenait devant l'auberge concurrente, sur la place du marché.
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Enfin, dans une longue caisse scellée, on a sorti de la dernière barge le corps de [[Trevan de Rigorne]], apparemment mort dans une sorte de bataille qui aurait eut lieu à [[Aroche]] : [[Gavin]], à peine remis de ses propres blessures, a beaucoup pleuré à son enterrement, le lendemain à l'aube sur l'[[Île aux Saules]] et comme les marins ont aussi raconté des histoires de sorciers qui cuisinait des gens dans une taverne maudite, beaucoup de gens se pressaient aux funérailles pour profiter des bénédictions de [[Frère Daverom]].
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À leur tête se trouve le fringuant [[Julian Durgaut]], le frère aîné de votre estimé [[Capitaine Durgaut|Capitaine]], qui semble avoir convaincu quelques colporteurs, drapiers et autres prospecteurs de le suivre depuis [[Darverane]] et Solerane. Julian a l'air de s'entendre très bien avec [[Bagoran de Marale]] et il s'est découvert un ami commun avec l'Abbé [[Dolomire]] dès leur première conversation. Il aime surtout raconter, la chopine à la main devant un parterre de colons ébahis, que la prospection va bientôt reprendre et ouvrir des mines dans toutes la région.
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On trouve surtout à ses côtés l'entreprenant [[Dorian le Magnifique]], un marchand très clinquant avec une courtisane [[Fehnri]] à son bras, et un banquier de la maison [[Anvarel]], un ventru à moustaches cirées accompagné d'un secrétaire anémique servile et d'un garde-du-corps imposant, un Ondrène au visage tatoué.
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Enfin, un peu cachés dans l'ombre de ces grands personnages et le joyeux vacarme des charretiers de louage, on peut éventuellement dénicher un drapier nommé Perrick "Rouet", venu de [[Celanire]] poser des questions sur la disparition de son associé "Teillard" (et échanger de la feutrine contre des teintures), un type qui espère acheter des chevaux (le pauvre) et une sorte de clerc nommé [[Esébilio le Brasain|Esébilio]], de la [[Abbaye de Brasure|Bibliothèque Impériale de Brasure]].
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* Début de la construction du "Quartier du Héron", installation du camp d'entraînement militaire,
 
* Début de la construction du "Quartier du Héron", installation du camp d'entraînement militaire,
 
* [[18) "Neige en Été"]]
 
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Version du 12 novembre 2014 à 14:46

Croissante des Fenaisons (cf. calendrier)

Retour à Tal Endhil des "Arochais" (nouveaux colons) et des templiers de Bagoran de Marale

Aux premiers jours de la Huitaine 11, la rumeur d'une troupe de cavaliers approchant par la route du sud, colportée par des cavaliers Emishen, a secoué tout le village. Ils sont passé par le poste de garde au pied de la Passe de Nilfenan, salués par une garde composée dans l'après-midi de Meled croissant des Fenaisons (Huitaine 11 - Jour 2), c'est une petite armée qui est entrée par le pont sur le fleuve pour s'aligner en bon ordre au pied du donjon. Derrière le porte-étendard tendant l’oriflamme du Culte vers le ciel et le Commandeur Bagoran de Marale, vingt-cinq chevaliers en cottes de mailles rutilantes, encore autant de fantassins lourdement armés, des éclaireurs, des chiens et même une trentaine de conscrits ont présenté les armes, malgré la fatigue, les blessures et les mères fébriles qui murmuraient dans l'assistance. Après avoir installer un campement de fortune à la porte nord, tous ont attendu dans la discipline que le Capitaine Durgaut décide s'il libérait les conscrits à leur famille.

Mais surtout, au soir d'Hered (H11 - J3), les barges kerdanes remontant le fleuve vers le village ont été accueillies par une grande clameur : "Ils sont rentrés, les Arochais sont rentrés !" Et ils n'étaient pas seuls. Dans le crépuscule finissant, à la lumière des torches et des lampions, ont bientôt débarqué au quartier lacustre un Adira Pratesh triomphant, Bahardabras le Hornois (qu'il ne faut appeler comme ça, il paraît), Mérane Roulier habillée en vraie dame, la Moucheuse, Islinna et Bartolome Sotorine. Ils ramenaient avec eux toutes sortes de marchandises, des semences en retard, des machines étranges et des présents, mais aussi toute une foule de nouvelles têtes :

  • Une quinzaine de "Hotars", les impressionnants mercenaires hornois,
  • Une poignée de Kerdans, surtout des cousins de la grande ville mais aussi une sorte de grand dadet avec une longue aiguille en guise d'épée et sa maman grabataire,
  • Un jeune troubadour nommé Alenn le Rimeur qui a tenu à donner un concert le soir même à l'Auberge du Cygne,
  • Une 12aine de familles de colons, ouvriers, paysans et artisans qui seront bientôt employés à la mine ou fonderont de nouvelles fermes alentours. Parmi eux, un jeune m'es-tu-vu nommé Erinar qui se prétend "maître-brasseur" et un fondeur ventru qui s'est précipité dans les bras de son cousin Hartan, votre courageux maréchal-ferrant

Quand la Taverne Penchée a fermé pour accueillir une soirée privée entre privilégiés, les soiffards habituels et les filles de joie étaient déjà presque tous partis au spectacle qui se tenait devant l'auberge concurrente, sur la place du marché.

Enfin, dans une longue caisse scellée, on a sorti de la dernière barge le corps de Trevan de Rigorne, apparemment mort dans une sorte de bataille qui aurait eut lieu à Aroche : Gavin, à peine remis de ses propres blessures, a beaucoup pleuré à son enterrement, le lendemain à l'aube sur l'Île aux Saules et comme les marins ont aussi raconté des histoires de sorciers qui cuisinait des gens dans une taverne maudite, beaucoup de gens se pressaient aux funérailles pour profiter des bénédictions de Frère Daverom.

Ceux qui parmi vous fréquentent volontiers les auberges et les marchands ont également pu découvrir la grosse douzaine de voyageurs qui ont profité de l'avant-garde du Primat pour se faire escorter vers Tal Endhil. À leur tête se trouve le fringuant Julian Durgaut, le frère aîné de votre estimé Capitaine, qui semble avoir convaincu quelques colporteurs, drapiers et autres prospecteurs de le suivre depuis Darverane et Solerane. Julian a l'air de s'entendre très bien avec Bagoran de Marale et il s'est découvert un ami commun avec l'Abbé Dolomire dès leur première conversation. Il aime surtout raconter, la chopine à la main devant un parterre de colons ébahis, que la prospection va bientôt reprendre et ouvrir des mines dans toutes la région.

On trouve surtout à ses côtés l'entreprenant Dorian le Magnifique, un marchand très clinquant avec une courtisane Fehnri à son bras, et un banquier de la maison Anvarel, un ventru à moustaches cirées accompagné d'un secrétaire anémique servile et d'un garde-du-corps imposant, un Ondrène au visage tatoué.

Enfin, un peu cachés dans l'ombre de ces grands personnages et le joyeux vacarme des charretiers de louage, on peut éventuellement dénicher un drapier nommé Perrick "Rouet", venu de Celanire poser des questions sur la disparition de son associé "Teillard" (et échanger de la feutrine contre des teintures), un type qui espère acheter des chevaux (le pauvre) et une sorte de clerc nommé Esébilio, de la Bibliothèque Impériale de Brasure.


  • Début de la construction du "Quartier du Héron", installation du camp d'entraînement militaire,
  • 18) "Neige en Été"

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