Hotars : Différence entre versions

De Marches du Nord
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Mercenaires [[Hornois]] issus des vestiges de [[Chute de Horne|l'armée royale de Horne]], les Hotars sont utilisés dans l'[[Armée du Nord]] comme troupe de choc (et de "contre-guérilla").
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'''Mercenaires [[Hornois]] issus des vestiges de [[Chute de Horne|l'armée royale de Horne]]''', les Hotars sont utilisés dans l'[[Armée du Nord]] comme troupe de choc (et de "contre-guérilla").
  
 
« Les Hotars sont grands et secs, les muscles saillent sous la peau bistre, les sourcils sont épais et les barbes taillées en pointe ou en carré, les longs cheveux noirs attachés hauts sur le crâne aux côtés rasés. Les mercenaires hornois montent la garde en silence, ils ne murmurent qu'entre eux.
 
« Les Hotars sont grands et secs, les muscles saillent sous la peau bistre, les sourcils sont épais et les barbes taillées en pointe ou en carré, les longs cheveux noirs attachés hauts sur le crâne aux côtés rasés. Les mercenaires hornois montent la garde en silence, ils ne murmurent qu'entre eux.

Version du 14 avril 2015 à 09:57

Mercenaires Hornois issus des vestiges de l'armée royale de Horne, les Hotars sont utilisés dans l'Armée du Nord comme troupe de choc (et de "contre-guérilla").

« Les Hotars sont grands et secs, les muscles saillent sous la peau bistre, les sourcils sont épais et les barbes taillées en pointe ou en carré, les longs cheveux noirs attachés hauts sur le crâne aux côtés rasés. Les mercenaires hornois montent la garde en silence, ils ne murmurent qu'entre eux.

Ils prient quatre fois par jour dans un carré de terrain délimité par des lances (et qu'ils démontent à chaque fois pour le remonter selon l'orientation du soleil), se déploient et se redéploient au pas de course sur un simple mot, patrouillent dans les sous bois avec une régularité de métronome (ils utilisent apparemment une clepsydre) et adoptent des formations de combat compliquées à la moindre alerte, tout ça en conservant perpétuellement des postures de statue et des armures rutilantes.

Il faut dire qu'autour des deux tentes carrées qu'ils ont installées sur une butte à la périphérie de votre campement boueux, 4 esclaves s'activent presque en permanence pour briquer l'équipement, ranger le moindre ustensile et préparer durant des heures une cuisine épicée qu'ils servent ensuite selon un rituel incompréhensible. De fait, contrairement aux colons râleurs ou aux Kerdans qui tentent vaillamment de bricoler contre les circonstances, les Hornois semblent s’accommoder sans effort à la vie "sauvage". »