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De Marches du Nord
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L'immense route de pierres bâtie par les Aînés, coupant plaines, lacs et montagnes en un trait parfaitement rectiligne sur des milliers de kilomètres, depuis le défunt [[Chute de Horne|Royaume de Horne]] au sud jusqu'aux lointaines [[Marches du Nord]].
 
L'immense route de pierres bâtie par les Aînés, coupant plaines, lacs et montagnes en un trait parfaitement rectiligne sur des milliers de kilomètres, depuis le défunt [[Chute de Horne|Royaume de Horne]] au sud jusqu'aux lointaines [[Marches du Nord]].
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Si la route est absolument droite, régulière et amortit efficacement même les pentes de Monts voilés (des érudits ont récemment calculé que l'inclinaison de 2 à 5° commençait en fait un peu au nord de Marale), elle est parfois hautes de plusieurs centaines de mètres lorsqu'elle redescend de Bragone, notamment autour du viaduc d'Archerune, là où elle franchit le fleuve [[Dramguil (fleuve)|Dramguil]], et elle se révèle alors particulièrement dangereuse :  là-haut, sur la route parfaitement lisse et givrée au moindre firmat, le vent emporte régulièrement des voyageurs et des chariots entiers.
  
 
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Version du 9 avril 2013 à 00:36

L'immense route de pierres bâtie par les Aînés, coupant plaines, lacs et montagnes en un trait parfaitement rectiligne sur des milliers de kilomètres, depuis le défunt Royaume de Horne au sud jusqu'aux lointaines Marches du Nord.

Si la route est absolument droite, régulière et amortit efficacement même les pentes de Monts voilés (des érudits ont récemment calculé que l'inclinaison de 2 à 5° commençait en fait un peu au nord de Marale), elle est parfois hautes de plusieurs centaines de mètres lorsqu'elle redescend de Bragone, notamment autour du viaduc d'Archerune, là où elle franchit le fleuve Dramguil, et elle se révèle alors particulièrement dangereuse : là-haut, sur la route parfaitement lisse et givrée au moindre firmat, le vent emporte régulièrement des voyageurs et des chariots entiers.