Grésil

De Marches du Nord
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Niché dans une crique des falaises de la "Côte de Marbre", Grésil est un port de pêche du Golfe Cinglant, bâti durant la Première Guerre Nordique sur les ruines d'un village indigène : il compte aujourd'hui 850 habitants et une garnison de 300 hommes sous les ordres d'un lieutenant "Alessandro d'Enssyane". Perdu au bout de la route des Landes (rarement empruntée par les marchands), essentiellement ravitaillé par la mer, l'endroit a été négligé par les seigneurs d'Aroche... Jusqu'en l'an 13, quand une nef kerdane assurant le ravitaillement d'Orsane (alors en pleine Révolte des Ondrènes) s'est éventrée sur les récifs au Nord-Ouest du village, et que les puissants Melangoline ont exigé qu'on y construise un phare.

Lorsque la Troisième Guerre Nordique a éclaté en l'an 37, des Rebelles ont volé à Grésil plusieurs cogues de pêche et le comte-prévôt Berinor de Salviane y a donc renforcé les maigres fortifications et stationné une troupe de 50 hommes.
Lorsqu'un second raid des Arkonnelkan, venus des Îles Shilorken, a frappé le village au printemps suivant[1], balayant les soldats et faisant plus d'une centaine de morts parmi les villageois, on y a encore rehaussé les remparts, ajouté un donjon et grandement renforcé la garnison.
Le village a repoussé une troisième attaque à l'été 39, lorsqu'un millier de rebelles a tenté de prendre la ville d'assaut avec des machines de siège (?!). La Garnison, renforcée juste avant l'attaque, résistait vaillamment depuis plusieurs jours quand de nouveaux renforts commandés par Féodor de l'Escarpe s'abattirent sur les arrières des assaillant, détruisant les machines de siège au prix de lourdes pertes. Les Rebelles, réduit à la moitié de leur force initiale, durent se retirer avant d'être écrasés.

Marche-des-Lisières-02.png

  1. C'est d'ailleurs à cette occasion que l'astronome "Stella" y a été enlevée, alors qu'elle étudiait les marées complexes du Golfe Cinglant.