Duriane : Différence entre versions

De Marches du Nord
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Deuxième plus grande ville du continent, sa situation géographique profite presque autant à son économie que son statut particulier : perchée sur les contreforts de l'[[Echine du Monde|Échine]], Duriane est à la fois le principal accès vers [[Marche des Sylves|les Sylves]] et le siège d'une intense exploitation minière qui ont su attirer des artisans talentueux et favoriser ses [[Maisons Marchandes]] au point qu'elles supplantent la noblesse d'épée dans la principauté montagnarde.
 
Deuxième plus grande ville du continent, sa situation géographique profite presque autant à son économie que son statut particulier : perchée sur les contreforts de l'[[Echine du Monde|Échine]], Duriane est à la fois le principal accès vers [[Marche des Sylves|les Sylves]] et le siège d'une intense exploitation minière qui ont su attirer des artisans talentueux et favoriser ses [[Maisons Marchandes]] au point qu'elles supplantent la noblesse d'épée dans la principauté montagnarde.
  
Ses hautes et antiques murailles abritent d'ailleurs '''nombre d'étrangers et de contestataires :''' en plus d'importants comptoirs commerciaux [[Kerdans]] et de l'unique implantation "[[semi]]" au sud du [[Pays des Vents]], Duriane accueille une large communauté [[fehnri]] (dont la redoutable pègre des "[[Les Nocturnes|Nocturnes]]"), des [[Emishen]] venus du Nord, des réfugiés [[Marche des Sylves|sylvains]] ayant fuit les guerres intestines et les incursions barbares, l'une des dernières lignées [[Hornois|hornoises]] et même, si l'on en croit les rumeurs, des loges magiques secrètes et des sectes terenides...
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Ses hautes et antiques murailles abritent d'ailleurs '''nombre d'étrangers et de contestataires :''' en plus d'importants comptoirs commerciaux [[Kerdans]] ([[Venderine]] et [[Torodine]], aujourd'hui en concurrence) et de l'unique implantation "[[semi]]" au sud du [[Pays des Vents]], Duriane accueille une large communauté [[fehnri]] (dont la redoutable pègre des "[[Les Nocturnes|Nocturnes]]"), des [[Emishen]] venus du Nord, des réfugiés [[Marche des Sylves|sylvains]] ayant fuit les guerres intestines et les incursions barbares, l'une des dernières lignées [[Hornois|hornoises]] et même, si l'on en croit les rumeurs, des loges magiques secrètes et des sectes terenides...
  
 
Dans le curieux creuset culturel de la principauté, par la grâce de diverses exceptions administratives autant que par la récente [[Guerre des Sylves]], la petite noblesse aventureuse et la bourgeoisie marchande se sont mélangées pour fonder les [[Mercenaires|compagnies mercenaires]] les plus organisées de l'empire.
 
Dans le curieux creuset culturel de la principauté, par la grâce de diverses exceptions administratives autant que par la récente [[Guerre des Sylves]], la petite noblesse aventureuse et la bourgeoisie marchande se sont mélangées pour fonder les [[Mercenaires|compagnies mercenaires]] les plus organisées de l'empire.

Version actuelle en date du 2 février 2016 à 11:02

Cité-franche et capitale princière des farouches Dalanes, "la Cité des Pierres" est officiellement féale de l'Empire de Rem mais jouit en pratique d'une large indépendance.
Deuxième plus grande ville du continent, sa situation géographique profite presque autant à son économie que son statut particulier : perchée sur les contreforts de l'Échine, Duriane est à la fois le principal accès vers les Sylves et le siège d'une intense exploitation minière qui ont su attirer des artisans talentueux et favoriser ses Maisons Marchandes au point qu'elles supplantent la noblesse d'épée dans la principauté montagnarde.

Ses hautes et antiques murailles abritent d'ailleurs nombre d'étrangers et de contestataires : en plus d'importants comptoirs commerciaux Kerdans (Venderine et Torodine, aujourd'hui en concurrence) et de l'unique implantation "semi" au sud du Pays des Vents, Duriane accueille une large communauté fehnri (dont la redoutable pègre des "Nocturnes"), des Emishen venus du Nord, des réfugiés sylvains ayant fuit les guerres intestines et les incursions barbares, l'une des dernières lignées hornoises et même, si l'on en croit les rumeurs, des loges magiques secrètes et des sectes terenides...

Dans le curieux creuset culturel de la principauté, par la grâce de diverses exceptions administratives autant que par la récente Guerre des Sylves, la petite noblesse aventureuse et la bourgeoisie marchande se sont mélangées pour fonder les compagnies mercenaires les plus organisées de l'empire.

Depuis bientôt 25 ans, le prince Thibert règne sur la région.