Catégorie:Marche des Lisières : Différence entre versions

De Marches du Nord
Aller à : Navigation, rechercher
Ligne 8 : Ligne 8 :
 
Plusieurs [[Otlalnan|tribus emishen]] vivent encore dans la Marche et bien qu'une faible minorité d'entre eux habitent parfois dans les villes et villages fondés par les impériaux, la plupart continue de parcourir le pays pour chasser et cueillir, échangeant les peaux et les chevaux contre les produits manufacturés des colons.
 
Plusieurs [[Otlalnan|tribus emishen]] vivent encore dans la Marche et bien qu'une faible minorité d'entre eux habitent parfois dans les villes et villages fondés par les impériaux, la plupart continue de parcourir le pays pour chasser et cueillir, échangeant les peaux et les chevaux contre les produits manufacturés des colons.
  
[[Fichier:Marche-des-Lisière-02.png|800px|center]]
+
[[Fichier:Marche-des-Lisières-02.png|800px|center]]
  
 
[[Catégorie:Géographie]]
 
[[Catégorie:Géographie]]
 
[[Catégorie:Marches du Nord]]
 
[[Catégorie:Marches du Nord]]

Version du 7 avril 2019 à 00:17

La bannière du baron-prévôt Berinor de Salviane, et par extension de toutes les Lisières...
La Marche des Lisières est le bassin fertile du Pays des Vents et –de loin– sa région la plus peuplée : c'est dans les vastes plaines vallonnées du fleuve Dramguil que sont concentrés la plupart des élevages (chevaux, moutons, bœufs remans...), la grande majorité de ses cultures et le plus grand nombre de cités.

On y trouve aussi des moulins (à vent), des mines de cuivre et de fer, des abbayes, des routes pavées reliant plusieurs dizaines d'agglomérations et d'immenses rivières, en particulier la Lessane, paraissant à travers les landes jusqu'à la côte déchiquetée où s'accrochent quelques timides ports de pêche. Les Emishen qui y vivent encore –principalement des Otlalnan– sont ceux qui ont su se soumettre et s'intégrer : jusqu'à l'automne de l'an 37, la région était donc proportionnellement plutôt calme, et nombre de commandants impériaux "méritants" s'y sont taillés des baronnies.

Si la région s'est d'abord développée à partir de la grande ville portuaire d'Aroche, depuis quelques années que celle-ci a été élevée au rang de marche indépendante, la prévôté des Lisières a été transférée vers la jeune cité de Salviane, haut-lieu du commerce de grain et de plantes aromatiques près duquel le Baron-Prévôt Berinor se fait bâtir une nouvelle forteresse.
L'afflux de colons ondrènes depuis plus d'un siècle a également fondé de multiples bourgs à travers les vastes plaines boisées, parmi lesquels Archerune (au croisement du fleuve et de la Grande Chaussée), Gorgerune et Valmire se distinguent aujourd'hui comme de véritables villes.
À l'extrême est de la Marche, l'austère forteresse de Mont-Griffon contrôle la frontière la mieux gardée de tout le pays : car au-delà du fleuve Ombreux (Geh'wayl Korarlan en Langue des Vents) s'élèvent les Montagnes des Épées, territoire de la puissante tribu guerrière des Arkonnelkan, jamais soumise à l'envahisseur mais enclavée sur ses crêtes imprenables (par Orsane au sud, les Lisières au sud-ouest et la mer de tous les autres côtés).

Plusieurs tribus emishen vivent encore dans la Marche et bien qu'une faible minorité d'entre eux habitent parfois dans les villes et villages fondés par les impériaux, la plupart continue de parcourir le pays pour chasser et cueillir, échangeant les peaux et les chevaux contre les produits manufacturés des colons.

Marche-des-Lisières-02.png

Sous-catégories

Cette catégorie comprend la sous-catégorie ci-dessous.