Catégorie:Armée de Tal Endhil : Différence entre versions

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* '''"Redoutable Chef d'Escouade", [[Ahroanfar le Bâtard]]''', aide de camp du capitaine et en charge du fort de la passe de Nilfenan ;
 
* '''"Redoutable Chef d'Escouade", [[Ahroanfar le Bâtard]]''', aide de camp du capitaine et en charge du fort de la passe de Nilfenan ;
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* Le '''chevalier Térance du Lagre''' (du nom du fleuve qui marque la frontière entre Lycène et Riger), Banneret du baron de Léandre et commandant les lanciers qui lui ont été loués à la fin du printemps 38. Vétéran de la guerre des Sylves, lointain cousin d'Eliassin de Léandre, il parle avec un accent léandrais à couper à la hache.
  
 
== sous-Officiers ==
 
== sous-Officiers ==

Version du 7 mars 2021 à 21:42

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Commandée par l'Inflexible Capitaine, Dharomjarn à l'Étendard de la Foi, l'armée "baillivale" de Tal Endhil compte aujourd'hui 104 hommes (dont, techniquement, deux femmes), issus tant des vétérans endurcis autrefois connus comme les "Mercenaires de Tal Endhil" que de la conscription ordonnée par le prévôt Rhilder au printemps de l'an 37 (la moitié des conscrits ayant été embauchés comme soldats par la suite) et des quelques missions de recrutements menées par Esic "Le Cornu" ou Herle de Lorune, le tout renforcé par une quinzaine de redoutables Hotars et les tous récents miliciens du Guet de Tal Endhil.

C'est donc une force encore réduite, hétérogène et plutôt chère mais valeureuse qui défend le bailliage.


Les Troupes

Presque 600 hommes (et quelques femmes) à la fin du printemps 38 eI, Officiers, sous officiers, vétérants, bleusaille et un très fort et très impressionnant contingent mercenaire.

Officiers

  • "Redoutable Chef d'Escouade", Argohramdar, commandant directement aux Hotars ;
  • "Redoutable Chef d'Escouade", Ahroanfar le Bâtard, aide de camp du capitaine et en charge du fort de la passe de Nilfenan ;
  • Le chevalier Térance du Lagre (du nom du fleuve qui marque la frontière entre Lycène et Riger), Banneret du baron de Léandre et commandant les lanciers qui lui ont été loués à la fin du printemps 38. Vétéran de la guerre des Sylves, lointain cousin d'Eliassin de Léandre, il parle avec un accent léandrais à couper à la hache.

sous-Officiers

une quinzaine de sous officiers, dont :

  • sergent Foriam l'Estrani, en charge du quintet d'arbalétriers et de la garde du village de Tal Endhil ;
  • sergent et chevalier Tharcem de Garde-Lunes, en charge de Fort Trevan ;
  • sergent d'armes Ferwald "le Lutrin" (loué aux Garde-Lunes);
  • sergent Lothar "le braque", très sérieux ancien marin Orsani (ne lui parlez pas de son bec-de-lièvre, ne le regardez pas non plus!)

[EN TRAVAUX]


Vétérans

Ceux qu'on appelait autrefois les "Mercenaires de Tal Endhil" ont aujourd'hui été dispersés entre les grades supérieurs et le Guet, mais une poignée persiste parmi les patrouilleurs que commande Nadine "la Moucheuse" : Oleytan "le Furet", Arsombald "la Tortue", Grelorn "la Poigne" et Wotjek "le Sylvain".

Des mercenaires aguerris, éclaireurs, "routiers" rompus au mission d'escorte ou brigands repentis ont ensuite été recrutés dans la Marche des Lacs voisine. Citons parmis la quinzaines de survivants : le bouillant bretteur et mélomane kerdan Malco Torodine (récemment affecté à la Légation), l'éclaireur Rhamdel "le Bouquetin" (un drôle de gus, peut-être bien emishen malgré ses cheveux très courts (?) et qui parle à peine la langue des Pères), l'archer anguedais Lothar et le lancier dalane Perrin (deux vétérans de la Guerre des Sylves), un certain Thomren "le Couard" (qui aurait déserté l'Auberge du Pont lors d'une attaque de Kormes, mais que Le Cornu a jugé assez fiable pour le service) et un duo d'ex-brigands : le grisonnant Aldebert, le maniaque du couteau Gerold (le troisième, le métis râleur Caergayl, est mort depuis).

Ça fait donc 19 combattants plutôt "expérimentés" pour renforcer les bleues-bites qui suivent...

Soldats

Presque 300 hommes, dont :

  • 50 patrouilleurs, l'élite de la petite armée, toujours sur les routes,
  • 60 soldats polyvalents, compétents tant à l'arc ou à l'arbalète qu'avec des armes de mêlée,
  • 60 archers, dont une dizaine d’arbalétriers,
  • 60 fantassins légers
  • 50 recrues du printemps 38, dont une 20aine de cavaliers embauchés avec leurs chevaux!

Parmi ces hommes, au moins une femme, la "Paillée" : une trappeuse originaire des environs de Darverane à qui on a refusé de s'engager dans l'armée du prévôt Rhilder, et qui est venue chercher de l'embauche auprès du bailli. Pour dire vrai, Le Cornu n'était pas chaud non plus jusqu'à ce qu'elle assomme (à coups de bouclier) un ex-conscrit qui proposait de l'embaucher comme "fille à soldats".

Notons également Jolin, Podrick et Wolker, ex-recrues du printemps 37, qui se sont distingués au sud en escortant la "Caravane des Enfants".

Guet de Tal Endhil

Si le sergent Foriam l'Estrani est en charge de la défense "militaire" du village, de ses remparts et de son donjon, c'est le questor kerdan Dario Celsine qui en commande la milice, assurant la protection civile, la levée des impôts sous la direction de l'intendant Tardil de Bedlam ou du trésorier Fergal "Massue"... et quelques tâches de contre-espionnage.
Son équipe compte actuellement 6 hommes :

  • Theon "Six-Pièces", ancien mercenaire de Durgaut, il préfère aujourd'hui un emploi moins dangereux, qui lui laisse plus de temps pour ses multiples combines...
  • Gavin "la Fouille", anciennement écuyer du malheureux chevalier errant Trevan de Rigorne,
  • Merrick de la Faille, jeune écuyer ondrène de treize ans, pupille du bailliage et élève de Dario, il assure essentiellement le secrétariat,
  • Solvrem "Sang-Mêlé" (métis "ondremishen"), pisteur et militant anti-raciste (y a du boulot),
  • Yorilk, guerrier ondrène bedonnant et large d'épaules, manie efficacement le gourdin,
  • Brunar, fils de l'éleveur Mardoran, ex-conscrit, imbécile notoire (toutes les forces de police en ont, que voulez-vous...)


Auxiliaires

Mercenaires

Tal'Endhil a recruté tous les mercenaires qu'elle a pu trouver pendant cette période troublée, si bien qu'à la fin du printemps 38, elle dispose de presque 300 mercenaires ... qui forment un contingent hétérogène, mais très expérimentés :

  • Plus de 60 hotars, redoutables hornois;
  • Encore 200 lanciers lourds de Léandre pour la plupart vétérans de la guerre des sylves;
  • un petit escadron de cavaliers garde-lunes, d'une 20aine de soldats;

Templiers

Théoriquement dédiés à la protection de l'abbé Dolomire, une dizaine de soldats du Temple sous le commandement du chevalier Eliassin de Léandre se trouvent en fait quelque peu désœuvrés, et prêts à renforcer la défense du village.
Ils assurent donc la garde des portes et des remparts avec les hommes de Foriam l'Estrani.

in memoriam

[en travaux] L'ex brigant métis et râleur Caergayl, Petyr l'arbalétrier expédié avec Eldan dans les vallées sauvages ou ils ont disparu ...

Affectations


Patrouilles

Vue la taille du territoire, sa faible population et la dispersion des colonies habitées, les patrouilles assurent des missions essentielles à la défense du bailliage, non seulement parce qu'elles contrôlent sa frontière la plus faible (le long de la Rivière aux Élans) mais aussi parce qu'elles sont la principale force d'intervention hors des villages. Mais leurs responsabilités ne s'arrêtent pas là : puisque ces patrouilleurs arpentent toute la vallée des Lacs en Paliers, ils se trouvent fréquemment chargés d'y faire respecter la loi, de protéger les populations des bêtes sauvages, de guider les convois, de surveiller l'état des routes et des infrastructures, de distribuer les ressources de premières nécessités avant l'hiver, de transmettre les nouvelles... et plus généralement d'incarner l'autorité du bailli dans les recoins sauvages de son territoire.

La diversité de ces missions réclame de fait que les patrouilles intègrent aussi bien des guerriers endurcis que des éclaireurs dégourdis, des hommes (et même quelques femmes) issu(e)s de presque toutes les ethnies, souvent polyglottes et généralement dirigés par des officiers plus diplomates et/ou plus malins que la moyenne, tous drapés dans les grands manteaux bleu et noir devenus l'insigne de leur fonction. À mesure qu'il apprend ainsi à répondre aux exigences de ses missions, le Corps des Patrouilleurs devient donc une unité d'élite du bailliage, dont les membres sont d'abord recrutés parmi les membres les plus aguerris ou les plus prometteurs des autres unités, puis sont d'autant mieux entraînés qu'ils sont presque constamment sur le terrain et –d'après les rumeurs– c'est parmi eux que le bailli choisirait ses "Déterrés", soit les équipes irrégulières voués aux missions secrètes.

Malheureusement, les Talendans manquent encore de montures pour ces patrouilles (parce que leurs haras ont été pillés par les Kormes, que la garnison était sous-développée et qu'elle ne s'améliore pas vite) : aujourd'hui, le bailliage possède en propre une quinzaine de chevaux et s'en fait prêter quelques autres par la Guilde ou l'ami Tardil, ce qui permet juste à Nadine "la Moucheuse", sergent en charge de cet aspect, de monter (médiocrement) 3 ou 4 patrouilles de cinq cavaliers, sur principalement trois circuits :

  • le long du fleuve, de Tal Endhil à la Brasserie du Géant, parfois un détour vers le gué des Anguilles ou le chantier du port fluvial, puis Écume 6, et retour. → 4 jours, 5 avec un détour.
  • par la passe de Nilfenan, arrêt au camp fortifié, visite à la Mine du Camail et retour. → 2 jours
  • vers la Mine Bénie, parfois un détour vers Heydan Raden maintenant que des Talendans commencent à connaître le "gué secret" parmi les rapides en aval du Lac Deuxième, et retour par la rive nord. → 2 ou 3 jours

Moins fréquemment, une patrouille (souvent menée par Oleytan "le Furet") est spécifiquement envoyée le long de la Rivière aux Élans, qu'elle suit laborieusement pendant plus de deux jours à travers l'épaisse forêt d'Erikaessan, entre la route "impériale" (vers Solerane) et Écume 6, revenant alternativement par Nilfenan ou par le Lac Quatrième suivant le sens de rotation.

Le manque chronique de personnel et de montures ne leur laisse d'ailleurs guère le temps de se reposer, les forces s'épuisent et, dès qu'un quintet de patrouilleurs est expédié en intervention (à la suite de Virgile de Narcejane, parce qu'on a repéré des loups près d'un hameau...), que des cavaliers ou des bêtes sont blessés ou simplement retardés, l'occupation du territoire en prend immédiatement un coup.
Et vue l'importance critique de ces patrouilles (d'un point de vue stratégique mais aussi judiciaire et même civil), Tardil et Le Cornu insistent constamment pour qu'on les augmente, et qu'elles se coordonnent avec le Guet.

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