Arund-le-Taureau : Différence entre versions

De Marches du Nord
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Version du 5 septembre 2016 à 05:30

Un costaud vieillissant (la petite 50aine), venu d'Anguedale il y a 30 ans pour s'enrichir au Nord et aujourd'hui à la tête du plus important régiment mercenaire des Marches. Malgré ses fréquents différents avec le Duc-Gouverneur, cela lui permet notamment d'être admis comme "général (mercenaire)" à l'État-Major... et à la table de Berinor de Salviane.
Au total, le Taureau dirige aujourd'hui près de 4.000 mercenaires.

Il y a quelques mois, le Taureau a perdu son lieutenant préféré et son pupille, Greylen-le-Gantelet, égorgé par une mercenaire kerdane : toujours en fuite, la meurtrière est pourtant toujours poursuivie par la vindicte du général-mercenaire, qui a finalement confié la traque au chevalier (et chasseur de primes) Heymdal de Rordame, dit l'Émacié.

La citadelle de Dun Kerheine

Le prévôt des Lisières a accordé à son général-mercenaire la jouissance d'une petite forteresse sur la berge sud du Dramguil, nommée Dun Kerheine :
cette place-forte bâtie jadis par les Ondrènes est restée inoccupée pendant des décennies (on murmure des histoires de malédiction) avant d'être ré-investie au début de la Conquête du Nord, rasée par les Emishen il y a 20 ans et partiellement reconstruite.
Elle sert aujourd'hui de quartier-général au Taureau comme à plusieurs autres compagnies mercenaires d'importance.