17) "La Grande Évasion" : Différence entre versions

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'''La battue'''
 
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les conscrits talendan font une battue afin de pourchasser les kormes
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les conscrits talendan font une battue afin de pourchasser les kormes/
Andreas se perd en foret
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établissement d'un camp sur un piton rocheux
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Neri helin fait diversion avec ses géants
 
Neri helin fait diversion avec ses géants
  
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la mine semble remplie d'esprit...
 
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Version du 14 avril 2015 à 10:55

Première séance :

Après moult préparatifs compliqués, l'équipe s'est installée dans un campement camouflé à deux heures de marche de Solerane. Il y a là Vighnu, Andréas, Oleytan "le Furet", Eldan "le Moineau", Rhamdel "le bouquetin" Korme désespéré, Neri'Helin, cinq de ses géants et les trois brigands récemment repentis Aldebert, Caergayl et Gerold. Pendant que le "chroniqueur" ratait lamentablement le sortilège devant protégé Oleytan, déguisé en esclave, de tous les regards soupçonneux, les combattants se mirent en tête de commencer par attaquer Turil le Brun, forestier fréquemment employé par Jornil et qui serait le premier limier sur la piste des évadés.

Deuxième séance (relatée dans les chroniques d'Andréas) :

Andréas a annulé la chroniquerie qu’il avait pratiqué sur Oleytan et qui (par contre-coup de son échec) le transformait en suspect idéal. Grâce à l’aide d’Eldan, Vighnu, Rhamdel et d’Oleytan lui-même, tous devenus chroniqueurs honoraires, Andréas a cet fois réussi à faire le sort initialement prévu donnant à Oleytan un air inoffensif. Suite à cela, le groupe s’est séparé en deux. Andréas, Gerold et un Oleytan entravé ont pris la route de Solerane en espérant arriver avant la nuit, tandis que Vighnu, Rhamdel, Eldan et Caergayl (et Aldebert ?) tous déguisés en Kormes sont partis simuler une attaque korme chez le pisteur Turil le brun.

Oleytan ayant un peu trainé les pieds (sûrement la faitigué sa première chroniquerie), le groupe mené par Andréas est arrivé à Solerane juste à la tombée de la nuit et a bien failli se faire refouler. Endossant son identité d’Herme de Brasure, érudit de la bibliothèque impériale, le groupe s’est dirigé vers l’hostellerie (où Herme est déjà connu). Surprise : la ville grouille de Templiers. L’avant-garde du Primat est déjà là. Et pas de bol, l’hostellerie est remplie, notamment par quelques Talendan (des “conscrits” rentrant à Tal Endhil). Andréas se cache derrière son esclave pour ne pas se faire repérer et envoie Gerold négocier une chambre. Le maheureux Oleytan est envoyé à l’étable pour y être attaché (on constate au passage que la chroniquerie fait effet).

Au diner, il tombe sur une vieille connaissance : Dorian le Magnifique, et son accorte “assistante” fenhri. Ils voyagent avec rien d’autre que Julian Durgaut, le frère du capitaine, et un banquier de la maison Anvarel. Julian se révèle être un insupportable prétentieux qui raconte ânerie sur ânerie à propos de Tal Endhil avec l’aplomb de quelqu’un qui y vivrait depuis 10 ans. Andréas/Herme de Brasure opine mollement du chef à chacune de ses affirmations tout en trempant son pain dans sa soupe. Il s’esquive en fin de repas au moment où Dorian propose une partie de dés. En tout cas, Andréas est grillé auprès de Julian, faudra qu’il quitte la ville quand l’autre arrivera... Auparavant, Oleytan a surpris une conversation dans l’étable : personne ne faisant attention à lui, Dorian et la Fenhri ont tenu conversation, d’abord dans une langue non comprise par Oleytan (du fehnri ?), puis en langue des pères au moment où ils ont été rejoints par Julian Durgaut. Ils ont évoqué la présence d’un “type bizarre” (Andréas / Herme de Brasure). Plus intéressant, après le départ du Julian, Dorian et la fenhri ont continué à converser en réman et Oleytan a pu comprendre qu’ils semblaient avoir des projets à propos du banquier Anvarel (la maison Anvarel est une maison marchande basée à Duriane, influente dans le coin, à laquelle sont liées les frères Durgaut ainsi que la capitaine de la ville-basse d’Aroche, Remlin Anvarel)

Pendant ce temps, c’est un commando ultra-préparé qui se dirige vers la chaumière de Turil le Brun. Ils sont au top : ils ont des supers déguisements, ne parlent qu’en langue des vents, ont des noms de codes, vraiment, tout devrait se dérouler comme sur des roulettes. Turil apparait bientôt avec deux chiens. Une première flèche se plante en plein de le genou de Turil qui pose son autre genou à terre et lâche ses chiens. Les dogues sont abattus. Turil se réfugie dans un buisson et essaie de répliquer. Et là… c’est le drame. Le déroulé reste un peu mystérieux pour moi qui était parti pisser à ce moment là, mais toujours est-il que lorsque je suis revenu, Turil était mourant dans un buisson et que Vighnu et Eldan débattaient de la possible crucifixion à un arbre de Turil, pour faire korme. Eldan semble choqué par l’idée et souhaite qu’on soigne Turil (un nouveau concept korme : on te prend en embuscade, et une fois mourant on appelle SOS médecins pour que tu restes handicapé toute ta vie). Pendant qu'un Vighnu fatigué et un Eldan exalté débattent, Turil se vide de son sang et passe l’arme à gauche. Le groupe décide simplement d’effacer ses traces et de laisser la scène en l’état.


Oleytan, esclave infiltré

Pendant que le reste du groupe s'organise pour préparer la libération des esclaves, Oleytan est lui envoyé dans la mine pour faire du repérage et organiser les Emishen prisonniers.

Il se fait passer pour un esclave rattrapé lors de sa fuite après la première évasion. Il donne le nom d'un des enfants du même âge, recueilli au Cercle des Cascades par Doma Sholen, Lel'Daegan, "Renard d'eau". Les esclaves ne sont pas dupes et l'oncle de Lel'Daegan confronte Oleytan. Le jeune mercenaire arrive à convaincre les esclaves que c'est pour ne pas trop troubler les Dirsen qui sont un peu stupide.

Après avoir passé une demi-journée à casser des cailloux joyeusement à coup de pioche, le furet a réussi à identifier quelques personnes dans la mine. Le chef des esclaves, un dirsen peu commode portant une barbe de trois jours et les cheveux courts. À sa ceinture sont accrochés un gros gourdin clouté et un trousseau de (quelques) clés. Clés servant à ouvrir les cadenas utilisés pour attacher les chaînes des esclaves aux piliers soutenant la mine. Un Okhina'en costaud aux pieds brisés, rétribution pour avoir participé à la fuite avec les enfants et s'être fait rattraper.

Il en apprend aussi un peu plus sur l'organisation de la mine. La plupart des esclaves creusent avec leurs pioches des filons dans différentes galeries, attachés entre eux et à un poteau. Laissant ainsi la liberté aux gardiens de ne pas passer leur temps à les surveiller. Le résultat de l'extraction est mis dans des paniers qui sont ensuite remontés jusqu'au monte charge par un groupe d'une demi-douzaine de costauds, enchaînés entre eux. Une fois les paniers remontés, c'est une demi-douzaine d'enfants qui sont chargés de casser les cailloux pour séparer proprement le minerai de la roche. En faisant le calcul rapidement, Oleytan s’aperçoit qu'il manque des enfants. Et enfin, trois esclaves attachés au monte charge interne de la mine pour déplacer les sacs qui leurs sont apportés. Chaque esclave à un quota de trois paniers quotidiens à remplir et une certaine quantité pas tout à fait claire de minerai à extraire. Dans l'artère principale, généralement accessible en allant au bout de leur chaîne, les esclaves ont accès à un tonneau d'eau pour se rafraîchir un peu (il fait chaud dans la mine).

Une fois la journée finie, les esclaves de la mine d'argent rejoignent la mine de cuivre et sont regroupés avec les autres. Il sont attachés ensemble, à quatre poteaux massifs dans l'artère principale, proche du monte-charge de l'entrée, pour avoir leur repas et dormir. L'artère est suffisamment large que trois cavaliers pourraient y passer de front. C'est à ce moment que le furet essaye d'obtenir le plus d'informations. Il apprend qu'il y a environ six semaines, le contre-maître arrête de venir dans la mine, sans que les esclaves ne sachent pourquoi. Seul passe de temps à autre un dirsen s'y connaissant en roche, type qui selon la description des prisonniers est une ordure. quelques temps après, un accident est arrivé dans la mine d'argent, suite à cela la majorité des dirsen qui y travaillaient sont partis. S'en est suivit l'évasion menée par Tahalien, puis il y a 2-3 semaines la plupart des enfants ont été envoyé en chariot hors de Solerane. D'après ce que les esclaves peuvent dire c'est que ce sont les moins doués pour le tri des cailloux qui ont été emmené, mis à par ça, il n'ont pas plus d'informations. Ceux de la mine d'argent ajoutent que la bas, les surveillants sont plus méchants, plus violent et le dirsen qui s'y connaît en cailloux y traîne la plupart du temps.

Les esclaves s'organisaient autour de Febhel, la vieille qui à prit le relais depuis que Tahalien s'est échappée. Elle fait ce qu'elle peut pour que tous aient une petite chance, que les malades et les vieux incapables de travailler ne soient pas tabassé et 'sortis de la mine', que tout le monde ai une ration correcte de nourriture et que les emishen ne se montent pas les uns contre les autres.


La battue les conscrits talendan font une battue afin de pourchasser les kormes/ Andreas se perd en foret/ établissement d'un camp sur un piton rocheux/ Neri helin fait diversion avec ses géants


la route piégé établissement d'un itinéraire de fuite/ mise en place de piége/ l'équipe se renforce d'une nouvelle......

travaux de terrassement les geants travail en silence/ Andreas contact oleytan/ la mine semble remplie d'esprit...

l'évasion

la poursuite



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